
Après le rapt de trois Français en moins d'un mois à Madagascar, la France a décidé d'agir. Des unités du GIPN (Groupe d'intervention de la police nationale) et du GPI (Groupe de peloton d'intervention) de La Réunion ont été envoyés sur la Grande île afin de lutter contre ces kidnappings.
Comme le rapporte lexpressmada.com, ces unités spécialisées sont arrivées le lendemain même de l'enlèvement du troisième Français, François Raphaël, et se sont présentées à la police judiciaire d'Antananarivo, qui gère les cinq sections de la brigade criminelle.
Marcel Velontsara, le directeur de la PJ d'Antananarivo, a indiqué que deux représentants des deux unités s'étaient entretenus avec ses services. "Le kidnapping contre rançon, dont des Français sont les victimes, était au cœur de leur préoccupation", a-t-il déclaré. "Les investigations ont été multipliées notamment de notre côté. Toutefois, la réticence des proches des victimes pose problème", a-t-il ajouté.
La mission du GIPN est d’intervenir lors de prises d’otages, arrestation et maîtrise de forcenés, mutineries, escortes et plus généralement à chaque fois qu’une situation à haut risque l’exige.
Le GPI, lui, intervient lors d'opérations de maintien de l'ordre en renfort des escadrons déplacés, des protections d'autorités, des transfèrements de détenus dangereux, des interpellations à risques et assurent des missions de recherches et secours en forêt et d'aide lors de catastrophes naturelles . Ils sont également formés et habilités à intervenir à la place ou en renfort du GIGN lors de prises d'otages, de maîtrise de forcenés, d'actes de piraterie aérienne ou maritime, en raison des délais d'acheminement sur place du GIGN.
Comme le rapporte lexpressmada.com, ces unités spécialisées sont arrivées le lendemain même de l'enlèvement du troisième Français, François Raphaël, et se sont présentées à la police judiciaire d'Antananarivo, qui gère les cinq sections de la brigade criminelle.
Marcel Velontsara, le directeur de la PJ d'Antananarivo, a indiqué que deux représentants des deux unités s'étaient entretenus avec ses services. "Le kidnapping contre rançon, dont des Français sont les victimes, était au cœur de leur préoccupation", a-t-il déclaré. "Les investigations ont été multipliées notamment de notre côté. Toutefois, la réticence des proches des victimes pose problème", a-t-il ajouté.
La mission du GIPN est d’intervenir lors de prises d’otages, arrestation et maîtrise de forcenés, mutineries, escortes et plus généralement à chaque fois qu’une situation à haut risque l’exige.
Le GPI, lui, intervient lors d'opérations de maintien de l'ordre en renfort des escadrons déplacés, des protections d'autorités, des transfèrements de détenus dangereux, des interpellations à risques et assurent des missions de recherches et secours en forêt et d'aide lors de catastrophes naturelles . Ils sont également formés et habilités à intervenir à la place ou en renfort du GIGN lors de prises d'otages, de maîtrise de forcenés, d'actes de piraterie aérienne ou maritime, en raison des délais d'acheminement sur place du GIGN.