
Coup de tonnerre politique à Madagascar. Le président de la Transition, Andry Rajoelina, qui s'était engagé avec l'ancien président du pays Marc Ravalomanana à ne pas se présenter au prochain scrutin présidentiel, a finalement renoncé à cet accord. Son nom figure sur la liste publiée par la Cour électorale spéciale (CES), qui autorise 40 autres candidats à se présenter à la fonction suprême.
Andry Rajoelina regrette que son rival, Marc Ravalomanana, n’ait pas respecté leur accord en désignant sa femme, Lalao, comme candidate de son parti à la présidentielle.
La CES a réagi à cette annonce de la candidature du président sortant en déclarant qu'elle était "soucieuse du principe de la liberté de tout citoyen de se porter candidat à toutes les élections afin de permettre à tout un chacun de choisir librement celui ou celle qui dirigera leur destinée, pour instaurer un climat d'apaisement permettant de tenir des élections justes, crédibles et acceptées par tous".
Concernant les candidatures de Lalao Ravalomanana et de Didier Ratsiraka, qui risquaient d'être disqualifiés car n'ayant pas remplit l'obligation d'être sur le territoire malgache depuis six mois, la CES a déclaré que ces absences "résultent de faits et d'actions indépendantes de leur volonté".
Pour rappel, le premier tour du scrutin présidentiel se déroulera le 24 juillet prochain.
À noter qu'André Rajoelina doit rencontrer aujourd'hui le président tanzanien, Jakaya Kikwete, à la tête actuellement de la Troïka de la SADC.
Andry Rajoelina regrette que son rival, Marc Ravalomanana, n’ait pas respecté leur accord en désignant sa femme, Lalao, comme candidate de son parti à la présidentielle.
La CES a réagi à cette annonce de la candidature du président sortant en déclarant qu'elle était "soucieuse du principe de la liberté de tout citoyen de se porter candidat à toutes les élections afin de permettre à tout un chacun de choisir librement celui ou celle qui dirigera leur destinée, pour instaurer un climat d'apaisement permettant de tenir des élections justes, crédibles et acceptées par tous".
Concernant les candidatures de Lalao Ravalomanana et de Didier Ratsiraka, qui risquaient d'être disqualifiés car n'ayant pas remplit l'obligation d'être sur le territoire malgache depuis six mois, la CES a déclaré que ces absences "résultent de faits et d'actions indépendantes de leur volonté".
Pour rappel, le premier tour du scrutin présidentiel se déroulera le 24 juillet prochain.
À noter qu'André Rajoelina doit rencontrer aujourd'hui le président tanzanien, Jakaya Kikwete, à la tête actuellement de la Troïka de la SADC.