Ce matin, une réunion avec les emplois verts et la mairie de st André a eu lieu en interne.
Suite à leur découverte du flaperon d’aile, ils n’entendent pas « rester les bras croisés » et ont ainsi contacté, hier, la préfecture pour lui faire part de leur volonté de participer aux recherches.
« On est les premiers à se sentir concernés », affirme Jean-Yves Sambimanan, responsable de la communication à la mairie de st André.
En tout, environ 60 personnes de 5 associations sont prêtes à de nouveau sillonner le rivage à la recherche d’autres éléments. Une collaboration qui se fera sous l’autorité du Préfet de la Réunion et en renfort des équipes aériennes, maritimes et pédestres annoncées, précise-t-il.