
Dimanche, à 21 h 30, un peu plus d’une heure après la lecture des noms du nouveau gouvernement par Claude Guéant, la rue Oudinot organisait une conférence de presse qui, selon FranceAntilles.fr, a été suivie par seuls quatre médias ultramarins.
Marie-Luce Penchard a affirmé avoir appris sa nomination avec "beaucoup d'émotion et de gravité", rapporte le site. Le Premier ministre, François Fillon, l’aurait informée, par téléphone, dimanche à 15 h 10.
Marie-Luce Penchard a souligné mesurer "la responsabilité qui est la mienne pour cette période, jusqu’en 2012". Elle a indiqué qu’elle continuerait sa mission, à savoir l’application des mesures du Comité interministériel pour l’Outre-mer, l’année de l’outre-mer et les textes législatifs à faire passer au Parlement sur la Guyane, la Martinique ou encore la Polynésie française.
Après avoir annulé ces deux derniers déplacements à La Réunion et en Guyane, la ministre devrait se rendre aux Antilles à la fin de la semaine.
Marie-Luce Penchard avait fait son entrée au gouvernement français dans le cadre d’un précédent remaniement, en juin 2009, en remplacement d'Yves Jégo. Ce dernier avait appris son éviction seulement 18 minutes avant la présentation du nouveau gouvernement.
Marie-Luce Penchard a affirmé avoir appris sa nomination avec "beaucoup d'émotion et de gravité", rapporte le site. Le Premier ministre, François Fillon, l’aurait informée, par téléphone, dimanche à 15 h 10.
Marie-Luce Penchard a souligné mesurer "la responsabilité qui est la mienne pour cette période, jusqu’en 2012". Elle a indiqué qu’elle continuerait sa mission, à savoir l’application des mesures du Comité interministériel pour l’Outre-mer, l’année de l’outre-mer et les textes législatifs à faire passer au Parlement sur la Guyane, la Martinique ou encore la Polynésie française.
Après avoir annulé ces deux derniers déplacements à La Réunion et en Guyane, la ministre devrait se rendre aux Antilles à la fin de la semaine.
Marie-Luce Penchard avait fait son entrée au gouvernement français dans le cadre d’un précédent remaniement, en juin 2009, en remplacement d'Yves Jégo. Ce dernier avait appris son éviction seulement 18 minutes avant la présentation du nouveau gouvernement.