
Le ministre de l’Education Nationale, Xavier Darcos, a beau avoir reporté sa réforme des classes de seconde, les lycéens restent sous pression. Juste suspendu, le projet de réforme fait encore peur et la mobilisation prévue aujourd’hui a donc encore tout lieu d’être pour eux.
Les revendications restent les mêmes: mener une réforme oui, sans concertation non. "Pas de suppression de postes, pas de suppressions d'options, pas de privatisation des facs pour plus tard", voici le type de messages que l’on risque de retrouver sur les banderoles aujourd’hui.
Ainsi, 17 bus sont affrétés sur le campus du Moufia. S’ils sont remplis, c’est 1000 lycéens qui viendront soutenir ceux de Saint-Denis pour la manifestation prévue vers la Préfecture et qui débutera dans environ deux heures.
Sans oublier les étudiants de l’IUFM qui mènent leur opération escargot dès 8 heures, vêtus de vert (couleur de l’espoir) et qui retrouveront lycéens, étudiants de l’université et des IUT sur le campus du Moufia.
L’UNEF, présidée par Gilles Leperlier, a annoncé qu’une délégation de six personnes devrait être reçue par le directeur du cabinet à l’issue de la manifestation.
Automobilistes, prenez vos dispositions - ou votre mal en patience - car le cortège va perturber la circulation sur le Boulevard Sud une partie de la matinée.
Les revendications restent les mêmes: mener une réforme oui, sans concertation non. "Pas de suppression de postes, pas de suppressions d'options, pas de privatisation des facs pour plus tard", voici le type de messages que l’on risque de retrouver sur les banderoles aujourd’hui.
Ainsi, 17 bus sont affrétés sur le campus du Moufia. S’ils sont remplis, c’est 1000 lycéens qui viendront soutenir ceux de Saint-Denis pour la manifestation prévue vers la Préfecture et qui débutera dans environ deux heures.
Sans oublier les étudiants de l’IUFM qui mènent leur opération escargot dès 8 heures, vêtus de vert (couleur de l’espoir) et qui retrouveront lycéens, étudiants de l’université et des IUT sur le campus du Moufia.
L’UNEF, présidée par Gilles Leperlier, a annoncé qu’une délégation de six personnes devrait être reçue par le directeur du cabinet à l’issue de la manifestation.
Automobilistes, prenez vos dispositions - ou votre mal en patience - car le cortège va perturber la circulation sur le Boulevard Sud une partie de la matinée.