
Alors que 80% des déchets marins proviennent de la terre et que 75% d’entre eux sont des déchets plastiques, la ministre Brune Poirson a présenté ce lundi la charte d’engagement "Une plage sans déchet plastique, pour des communes littorales éco-exemplaires".
À l’interface terre-mer et abritant une biodiversité riche et fragile, les plages sont perçues comme des lieux privilégiés pour lutter contre ce fléau. Elaborée avec l’Association Nationale des Elus du Littoral (ANEL), la charte "Une plage sans déchet plastique" est composée de 15 engagements, répartis en 3 volets : sensibilisation (mobilisation des acteurs économiques, information des usagers, etc), prévention (intégration du zéro plastique dans les cahiers des charges des événements municipaux, expérimentation de la consigne sur les contenants alimentaires, etc.) et le volet ramassage, nettoyage, collecte et tri des déchets.
"Le niveau local est primordial"
Les villes signataires doivent s’engager dans chacun des trois volets. Des indicateurs de suivi élaborés par le Ministère de la Transition écologique et solidaire les aideront à évaluer la pertinence des différentes options choisies et à rendre public les avancées de chaque commune, indique le gouvernement. Plusieurs villes ont déjà manifesté leur souhait de signer la charte dès cet été comme Le Grau-du-Roi, Le Lavandou, Vias, Poggio-Mezzana, Saint-Gilles-Croix-de-Vie, Pornic, Perros-Guire, Boulogne-sur-Mer, Saint-Mandrieu ou encore Les Anses-d’Arlet.
Pour la ministre, "le niveau local est primordial" dans la lutte contre le plastique, cette lutte étant selon elle une "priorité" de l'action du ministère. "De nombreuses collectivités sont déjà très engagées et l’objectif de cette charte est de les valoriser, de les regrouper et de pousser celles qui le souhaitent à en faire de même. C’est une demande forte des Français", conclut-elle.
À l’interface terre-mer et abritant une biodiversité riche et fragile, les plages sont perçues comme des lieux privilégiés pour lutter contre ce fléau. Elaborée avec l’Association Nationale des Elus du Littoral (ANEL), la charte "Une plage sans déchet plastique" est composée de 15 engagements, répartis en 3 volets : sensibilisation (mobilisation des acteurs économiques, information des usagers, etc), prévention (intégration du zéro plastique dans les cahiers des charges des événements municipaux, expérimentation de la consigne sur les contenants alimentaires, etc.) et le volet ramassage, nettoyage, collecte et tri des déchets.
"Le niveau local est primordial"
Les villes signataires doivent s’engager dans chacun des trois volets. Des indicateurs de suivi élaborés par le Ministère de la Transition écologique et solidaire les aideront à évaluer la pertinence des différentes options choisies et à rendre public les avancées de chaque commune, indique le gouvernement. Plusieurs villes ont déjà manifesté leur souhait de signer la charte dès cet été comme Le Grau-du-Roi, Le Lavandou, Vias, Poggio-Mezzana, Saint-Gilles-Croix-de-Vie, Pornic, Perros-Guire, Boulogne-sur-Mer, Saint-Mandrieu ou encore Les Anses-d’Arlet.
Pour la ministre, "le niveau local est primordial" dans la lutte contre le plastique, cette lutte étant selon elle une "priorité" de l'action du ministère. "De nombreuses collectivités sont déjà très engagées et l’objectif de cette charte est de les valoriser, de les regrouper et de pousser celles qui le souhaitent à en faire de même. C’est une demande forte des Français", conclut-elle.
La charte ici