Comme pour un grand nombre d’artistes, l’année 2020 a été une année compliquée pour l’artiste réunionnaise : Concerts annulés, collaborations artistiques reportées, perspectives totalement incertaines…
Néanmoins, elle ne s’est pas laissée abattre et a décidé de revendiquer, au travers d’un clip engagé, l’importance du monde de la culture dans le quotidien de notre société.
Dans "Lundi Matin 2021", Louïz évolue dans "le monde d'après", une version de la société post-crise sanitaire, triste reflet d’un grand nombre de décisions gouvernementales actuelles.
Ainsi, dans ce nouveau monde, où le divertissement culturel n’existe plus, nous sommes donc de plus en plus privés de nos libertés individuelles et sommes régis par l’adage "métro boulot dodo". Notre identité est étroitement liée à notre passeport vaccinal qui se doit d'être quotidiennement décliné par le biais de notre code barre tatoué sur le poignet.
Dans ce nouveau monde, les êtres humains sont toujours masqués, ne communiquent plus entre eux, subissent la pression de leur emploi, et ne sont plus autorisés à échanger entre collègues.
Si nous ne sommes pas légalement unis, distanciation sociale oblige, les relations amoureuses se vivent à distance par ordinateur interposé.
Un nouveau monde où les laboratoires pharmaceutiques font fortune sur les états dépressifs générés par la morosité quotidienne d’une vie sans lien social et sans divertissement. Ceci en créant des "solutions miracles" supposées nous offrir quelques minutes de bonheur éphémère auxquelles, nous devenons dépendant et que nous utilisons en toutes circonstances, même pour calmer un enfant qui pleure quel qu’en soit la raison.
Néanmoins, elle ne s’est pas laissée abattre et a décidé de revendiquer, au travers d’un clip engagé, l’importance du monde de la culture dans le quotidien de notre société.
Dans "Lundi Matin 2021", Louïz évolue dans "le monde d'après", une version de la société post-crise sanitaire, triste reflet d’un grand nombre de décisions gouvernementales actuelles.
Ainsi, dans ce nouveau monde, où le divertissement culturel n’existe plus, nous sommes donc de plus en plus privés de nos libertés individuelles et sommes régis par l’adage "métro boulot dodo". Notre identité est étroitement liée à notre passeport vaccinal qui se doit d'être quotidiennement décliné par le biais de notre code barre tatoué sur le poignet.
Dans ce nouveau monde, les êtres humains sont toujours masqués, ne communiquent plus entre eux, subissent la pression de leur emploi, et ne sont plus autorisés à échanger entre collègues.
Si nous ne sommes pas légalement unis, distanciation sociale oblige, les relations amoureuses se vivent à distance par ordinateur interposé.
Un nouveau monde où les laboratoires pharmaceutiques font fortune sur les états dépressifs générés par la morosité quotidienne d’une vie sans lien social et sans divertissement. Ceci en créant des "solutions miracles" supposées nous offrir quelques minutes de bonheur éphémère auxquelles, nous devenons dépendant et que nous utilisons en toutes circonstances, même pour calmer un enfant qui pleure quel qu’en soit la raison.
Derrière cette satire et malgré tout, Louïz a toujours cette volonté d’être très inclusive. Raison pour laquelle, la diversité est au cœur de ce nouveau clip. En effet, sont en autre à l’écran des individualités reconnues pour leur singularité : Dimitri Pavadé (para athlète de haut niveau à l’échelle nationale), Kaylie Clain (influenceuse androgyne), Lunaa Ninja (danseur queer), Elodie Marie Louise (modèle grande taille) et bien d’autres. Une volonté pour l’artiste de mettre en avant la communauté LGBTQIA+ à laquelle elle appartient mais également de mettre en lumière la diversité sous toutes ses formes.
On notera également, une belle collaboration avec le street artiste Jace, reconnu au niveau international, qui a participé au projet en déclinant une de ses célèbres « Gouzette » à l’image de Louïz.
On notera également, une belle collaboration avec le street artiste Jace, reconnu au niveau international, qui a participé au projet en déclinant une de ses célèbres « Gouzette » à l’image de Louïz.