Comment expliquer une telle explosion du taux d’incidence en Lozère ? Alors que le département comptait 29 cas positifs pour 100.000 habitants au 2 octobre, ce taux est passé à 102 cas positifs en seulement 6 jours. Une augmentation de 252%. La moyenne nationale s’établit à 43 cas pour 100.000 habitants.
Une augmentation qui alarme les autorités sanitaires du département. Le préfet de Lozère a décidé de réinstaurer l'obligation du port du masque dans les établissements recevant du public et soumis au pass sanitaire.
La Lozère ne compte que 76.000 habitants. Un taux d’incidence de 100 pour 100.000 ne représente donc que 80 à 90 cas détectés. La présence d’un ou deux clusters peut donc faire monter naturellement ce pourcentage.
Durant ces derniers jours, deux clusters ont été identifiés dans les établissements scolaires. Néanmoins, l’interrogation se porte sur les 45/65 ans où le taux d’incidence a augmenté de 500%. Un constat qui va pousser l’ARS de Lozère à plusieurs investigations pour en comprendre les raisons.
La Lozère compte une couverture vaccinale inférieure à la moyenne nationale avec 69,3% de la population possédant un chemin vaccinal complet, contre 73,3% pour l’ensemble de la France.
Une augmentation qui alarme les autorités sanitaires du département. Le préfet de Lozère a décidé de réinstaurer l'obligation du port du masque dans les établissements recevant du public et soumis au pass sanitaire.
La Lozère ne compte que 76.000 habitants. Un taux d’incidence de 100 pour 100.000 ne représente donc que 80 à 90 cas détectés. La présence d’un ou deux clusters peut donc faire monter naturellement ce pourcentage.
Durant ces derniers jours, deux clusters ont été identifiés dans les établissements scolaires. Néanmoins, l’interrogation se porte sur les 45/65 ans où le taux d’incidence a augmenté de 500%. Un constat qui va pousser l’ARS de Lozère à plusieurs investigations pour en comprendre les raisons.
La Lozère compte une couverture vaccinale inférieure à la moyenne nationale avec 69,3% de la population possédant un chemin vaccinal complet, contre 73,3% pour l’ensemble de la France.