Déjà débordé voir saturé, le service en charge du numéro d’appel d’urgence du SAMU de Nancy a vécu l’enfer pendant trois mois en 2019. Les opérateurs ont recensé plus de 1000 appels provenant d’un sexagénaire qui appelait pour proférer des « propos à caractère sexuel » et monopoliser les lignes d’un service de secours d’importance vital », précise 20minutes.
Malgré un dépôt de plainte du CHRU de Nancy, l’homme a continué son harcèlement téléphonique. Le prévenu comparaissait mardi dernier devant le tribunal correctionnel de Briey en Meurthe-et-Moselle. Il a écopé d’une peine de 3 mois de prison avec sursis et 2300€ de dommages et interêts au bénéfice du CHRU de Nancy ajoute 20minutes.