
Le combat continue. Si le texte a été promulgué en août dernier, les opposants à la loi Travail poursuivent la mobilisation. Ainsi, ce jeudi matin, en écho à la manifestation nationale, l'intersyndicale CGTR/FO/FSU/SOLIDAIRES/UNEF et le SAIPER manifestent pour protester contre cette loi "passée en force", trois recours au 49-3 ayant été utilisés. A Saint-Denis, près de 150 personnes étaient rassemblées. La ville de Saint-Pierre est aussi concernée.
Si la mobilisation est assez faible, Ivan Hoarau, le secrétaire général de la CGTR, rappelle qu'elle fait suite à plusieurs mois de mobilisation et estime que le combat n'est pas vain. "On continue dans l'espoir que la loi soit abrogée", explique le syndicaliste, faisant référence à la celle sur le CPE.
En cas d'échec, la prochaine étape est "d'empêcher son application au sein des entreprises", et de "sensibiliser les salariés". "Des batailles juridiques sont en cours", indique-il encore, précisant qu'une veille juridique sera faite sur tous les décrets.
La députée Huguette Bello, également présente à la manifestation de Saint-Denis, a quant à elle dénoncé "un texte de l'inspiration du Medef". Rappelant qu'elle a signé la motion de censure à l'assemblée nationale, elle déclare : "Ce texte est une régression sociale qui va faire travailler plus pour gagner moins. II n'y a que le peuple qui puisse renverser un texte".
Si la mobilisation est assez faible, Ivan Hoarau, le secrétaire général de la CGTR, rappelle qu'elle fait suite à plusieurs mois de mobilisation et estime que le combat n'est pas vain. "On continue dans l'espoir que la loi soit abrogée", explique le syndicaliste, faisant référence à la celle sur le CPE.
En cas d'échec, la prochaine étape est "d'empêcher son application au sein des entreprises", et de "sensibiliser les salariés". "Des batailles juridiques sont en cours", indique-il encore, précisant qu'une veille juridique sera faite sur tous les décrets.
La députée Huguette Bello, également présente à la manifestation de Saint-Denis, a quant à elle dénoncé "un texte de l'inspiration du Medef". Rappelant qu'elle a signé la motion de censure à l'assemblée nationale, elle déclare : "Ce texte est une régression sociale qui va faire travailler plus pour gagner moins. II n'y a que le peuple qui puisse renverser un texte".