
Mercredi 27 janvier 2016, nous, les élus de La Possession, serons appelés à nous prononcer sur la destitution éventuelle de notre 1er adjoint, Robert Tuco et son remplacement éventuel par le 3ème adjoint, Gilles Hubert. Et ce après les départs de notre groupe de quatre élus et la venue d’une transfuge du camp d’en face.
Deux raisons sont données par madame le maire pour expliquer cette situation :
1° Gilles Hubert serait plus disponible que Robert Tuco pour donner sa pleine mesure au chantier "Cœur de Ville"
2° La "divergence de vision politique" qui est apparue entre elle et Robert depuis la présence de ce dernier à un meeting de Didier Robert quelques semaines avant le premier tour des dernières Régionales.
Avant d’analyser les deux points mis en avant par madame le maire, permettez-moi de faire un tout petit bilan des deux premières années de notre mandat, ce mandat que les Possessionnais nous ont confié avec l’espoir d’un changement pour un monde meilleur. Qu’en est-il aujourd’hui ? Pour être un élu de proximité, je dois, en ce moment, raser les murs, éviter les regards de nos administrés tant leurs récriminations sont nombreuses et surtout justifiées ! Pour des raisons connues de tous.
Quant aux raisons avancées par madame le maire pour justifier sa décision inique à l’encontre de Robert, elles sont tellement débiles et fallacieuses pour être recevables. Ainsi Gilles Hubert serait le pilote de "Cœur de Ville" ! Et quid de notre super 2ème adjointe à l’aménagement et vice-présidente du TCO (il est beau le cumul des indemnités) et la non moins super directrice à l’aménagement ? Quant à la "divergence de vision politique" née d’une simple présence du 1er adjoint à un meeting de Didier Robert, elle tient plus à du caca nerveux, de l’autoritarisme mal contenu qu’une raison valable et digne.
C’est pourquoi je voterai contre la destitution de notre 1er adjoint et j’invite toutes celles et tous ceux qui ont en eux une éthique, une bienveillance, une humanité d’en faire de même. Madame le maire et ses fameux, (ou plutôt) fumeux conseillers du cabinet et d’ailleurs doivent être mis au pas et apprendre le respect et l’humilité dans la transparence, prônée à satiété, mais jamais appliquée.
Un élu déçu, désabusé mais combatif
Deux raisons sont données par madame le maire pour expliquer cette situation :
1° Gilles Hubert serait plus disponible que Robert Tuco pour donner sa pleine mesure au chantier "Cœur de Ville"
2° La "divergence de vision politique" qui est apparue entre elle et Robert depuis la présence de ce dernier à un meeting de Didier Robert quelques semaines avant le premier tour des dernières Régionales.
Avant d’analyser les deux points mis en avant par madame le maire, permettez-moi de faire un tout petit bilan des deux premières années de notre mandat, ce mandat que les Possessionnais nous ont confié avec l’espoir d’un changement pour un monde meilleur. Qu’en est-il aujourd’hui ? Pour être un élu de proximité, je dois, en ce moment, raser les murs, éviter les regards de nos administrés tant leurs récriminations sont nombreuses et surtout justifiées ! Pour des raisons connues de tous.
Quant aux raisons avancées par madame le maire pour justifier sa décision inique à l’encontre de Robert, elles sont tellement débiles et fallacieuses pour être recevables. Ainsi Gilles Hubert serait le pilote de "Cœur de Ville" ! Et quid de notre super 2ème adjointe à l’aménagement et vice-présidente du TCO (il est beau le cumul des indemnités) et la non moins super directrice à l’aménagement ? Quant à la "divergence de vision politique" née d’une simple présence du 1er adjoint à un meeting de Didier Robert, elle tient plus à du caca nerveux, de l’autoritarisme mal contenu qu’une raison valable et digne.
C’est pourquoi je voterai contre la destitution de notre 1er adjoint et j’invite toutes celles et tous ceux qui ont en eux une éthique, une bienveillance, une humanité d’en faire de même. Madame le maire et ses fameux, (ou plutôt) fumeux conseillers du cabinet et d’ailleurs doivent être mis au pas et apprendre le respect et l’humilité dans la transparence, prônée à satiété, mais jamais appliquée.
Un élu déçu, désabusé mais combatif