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Lettre ouverte à Ibrahim Patel

Observateur éclairé, il est de mon devoir aujourd’hui de clarifier quelques points sur la candidature d’Ibrahim Patel à la présidence de la Chambre de Commerce de la Réunion.   Disons-le clairement, l’expérience Patel est une catastrophe. En tant que président de CCI Ibrahim Patel fait régner le (modération)   Gestion opaque, réputation entachée (tapez donc […]

Ecrit par – le samedi 10 septembre 2016 à 05H10
Observateur éclairé, il est de mon devoir aujourd’hui de clarifier quelques points sur la candidature d’Ibrahim Patel à la présidence de la Chambre de Commerce de la Réunion.
 
Disons-le clairement, l’expérience Patel est une catastrophe. En tant que président de CCI Ibrahim Patel fait régner le (modération)
 
Gestion opaque, réputation entachée (tapez donc quelques mots clés sur Google pour comprendre), méconnaissance du vrai tissu économique réunionnais, foutage de gueule en règle sur le RSI, c’est vraiment pas beau à voir tout ça.
 
Le RSI justement, combien d’entrepreneurs vivent au quotidien sous le poids de cette ineptie, combien de ménages détruits ? Combien d’entrepreneurs au bord du suicide ? Merci qui ? Merci à Ibrahim Patel qui est à ce jour le seul responsable de cette situation !
 
Cette chambre consulaire est aujourd’hui un tremplin, un tremplin servant les ambitions personnelles d’un Ibrahim Patel en quête de mandats. Avait-il besoin d’un mandat de vice-président au Conseil Régional ? Ou avait-il besoin d’une manne financière supplémentaire afin de (modération) ? Je vous laisse faire votre choix.
 
Ibrahim Patel, un ambitieux de la politique ? À en croire des sources proches de la mairie de Saint-Paul, l’actuel président de la Chambre de « Commerce n’a qu’un plan en tête, rafler la mise consulaire afin d’avoir l’outil en main pour préparer la prise de Saint-Paul en 2020. Rien que ça ! Les rendez-vous et les rencontres s’enchaînent dans l’ouest à un rythme effréné, il se dit même que les oreilles Joseph Sinimalé et de Didier Robert commencent à siffler.
 
Et que dire du mode de scrutin et de la traditionnelle « chasse » aux enveloppes ? Une mécanique bien huilée avec le temps que je me réserve le droit de décrire dans un prochain courrier.
 
J’invite d’ailleurs les petits, les moyens et les grands entrepreneurs, les porteurs de projets et les observateurs à témoigner dans les commentaires.
 
Réveillons-nous maintenant.
 
Un observateur qui parle 

 

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