
L'annonce de l'alliance Nassimah Dindar / René-Paul Victoria avait surpris dans le landerneau politique. La haine que se vouent les deux protagonistes est de notoriété publique et les observateurs politiques se sont longuement interrogés pour comprendre les raisons de ce rapprochement.
En fait, comme souvent en politique, il ne faut pas chercher bien loin les explications. C'est la plupart du temps l'intérêt personnel des protagonistes qui prévaut. En l'espèce, Nassimah Dindar et René-Paul Victoria ont bien compris qu'ils avaient peu de chances de se faire réélire aux prochaines élections cantonales, du fait du redécoupage concocté par le gouvernement.
On sait que la nouvelle loi va diviser par deux le nombre de cantons et instituer une parité obligatoire : un homme et une femme candidats dans chaque canton. Nassimah Dindar et René-Paul Victoria ont rapidement fait les comptes : Nassimah est plutôt forte dans le Bas-de-la-Rivière et le centre-ville de Saint-Denis et René-Paul à la Montagne. Cette complémentarité leur permet d'envisager avec beaucoup d'optimisme une élection aux cantonales de mars 2015.
D'où leur décision de se rabibocher dès les municipales où il savent qu'ils n'ont que très peu de chances de gagner, ce qui leur évitera de se poser des questions sur le cumul des mandats...
En fait, comme souvent en politique, il ne faut pas chercher bien loin les explications. C'est la plupart du temps l'intérêt personnel des protagonistes qui prévaut. En l'espèce, Nassimah Dindar et René-Paul Victoria ont bien compris qu'ils avaient peu de chances de se faire réélire aux prochaines élections cantonales, du fait du redécoupage concocté par le gouvernement.
On sait que la nouvelle loi va diviser par deux le nombre de cantons et instituer une parité obligatoire : un homme et une femme candidats dans chaque canton. Nassimah Dindar et René-Paul Victoria ont rapidement fait les comptes : Nassimah est plutôt forte dans le Bas-de-la-Rivière et le centre-ville de Saint-Denis et René-Paul à la Montagne. Cette complémentarité leur permet d'envisager avec beaucoup d'optimisme une élection aux cantonales de mars 2015.
D'où leur décision de se rabibocher dès les municipales où il savent qu'ils n'ont que très peu de chances de gagner, ce qui leur évitera de se poser des questions sur le cumul des mandats...