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Les vœux pieux d’Alain Bénard

Ah, si les unijambistes pouvaient courir le 110 m haies ! Ah, si les sourds pouvaient écouter Debussy ! Ah, si les analphabètes pouvaient lire les fables de La Fontaine ! C’est ce que l’on appelle des vœux pieux, M. Bénard, parce que l’on sait, en les écrivant, que ce n’est pas possible et que […]

Ecrit par zinfos974 – le mercredi 04 février 2015 à 09H26

Ah, si les unijambistes pouvaient courir le 110 m haies !
Ah, si les sourds pouvaient écouter Debussy !
Ah, si les analphabètes pouvaient lire les fables de La Fontaine !

C’est ce que l’on appelle des vœux pieux, M. Bénard, parce que l’on sait, en les écrivant, que ce n’est pas possible et que ne sera jamais possible.
Alors, le président du CRCM qui condamnerait publiquement par écrit la flagellation de M. Badawi en Arabie saoudite ou la condamnation à la pendaison de Mme Bibi au Pakistan ou encore la pendaison des homosexuels en Iran, vous n’y pensez pas vraiment, M. Bénard, dites-nous !
C’est exactement comme si vous demandiez à Mgr Aubry de condamner une encyclique du pape François ! ! !

Je l’ai écrit et répété de nombreuses fois mais ce n’est pas suffisant, semble-t-il.

Alors, je dois le récrire : l’islam est un système politique qui se cache derrière un masque religieux.
Un peu comme le loup dans la fable de M. Seguin qui va voir les biquettes avec sa patte enfarinée.
À la différence que les biquettes de l’histoire, elles, ne se sont pas fait piéger par le stratagème « gros doigts » du loup.
Nous (les Français en général, les politiques et les évêques), on continue à admettre que l’islam est une religion monothéiste.
Et l’on va même, comble du ridicule, aspirer à ce que la charia, but ultime de tout musulman, soit honnie par les musulmans.
Rendez-vous compte, M. Bénard, qu’aucun musulman n’écoutera la splendide Messe en si mineur de J.-S. Bach.

Aucun musulman n’écoutera le Messie de Händel.
Aucun musulman n’ira ouïr à l’église de la Délivrance les Carmina Burana
Aucun musulman n’ira admirer, comme des millions de gens normaux, les admirables fresques de la chapelle Sixtine.
Aucun musulman n’acceptera de déguster avec vous un bon cassoulet de Castelnaudary.
Aucun musulman ne voudra boire en votre compagnie une excellente cervoise d’une abbaye belge.
Aucun musulman ne daignera trinquer avec vous d’un bon verre de châteauneuf-du-pape.
Aucun musulman ne sirotera avec vous un petit dé à coudre de chartreuse verte ou de notre « charrette » parfumé à la vanille naturelle de Bourbon.

Tous les musulmans, en revanche, proclament que Jésus-Christ n’a pas été crucifié. Ce qui est, pourtant, une vérité historique. Vous noterez, qu’en France, nier la réalité des chambres à gaz est un délit mais que nier la crucifixion historique de Jésus est pleinement autorisé pour les musulmans (c’est écrit noir sur blanc dans le Coran, IV 157 !).

Nonobstant le fait que, chaque dimanche à la messe, les fidèles catholiques proclament ensemble à haute et intelligible voix « Je crois en un seul Dieu ». Chaque dimanche. Eh bien, cela n’empêche nullement tous les musulmans de les insulter en les traitant de polythéistes croyant en trois dieux.
Apparemment, et je suis sans le doute le seul à l’écrire, les musulmans doivent avoir le droit de se convertir à Jésus-Christ plutôt que de continuer à mettre leur foi dans un prophète de légende qui n’a jamais historiquement existé, Mohammed. Un prophète totalement inconnu de son époque et même du monde arabe des VIIe et VIIe siècles. Plus on s’éloigne de lui chronologiquement et plus on apprend de détails sur sa vie. Étonnant, non ?
Savez-vous, M. Bénard, que les musulmans français ne reconnaissent pas le droit français élémentaire de quitter l’islam ?
L’islam est un cachot dont ne peuvent s’enfuir les musulmans qu’au péril de leur vie. Ou, en France, au risque de bannissement de leur « communauté ».
L’État français accepte qu’il y ait deux constitutions sur le territoire français : une pour les musulmans et une autre pour les autres.

Pourriez-vous vous élever contre cela, M. Bénard ?

L’islam n’est rien d’autre qu’un épouvantable ghetto qui enferme les musulmans dans un vivre-séparé. Un vivre côte-à-côte qui n’a rien à voir avec le fameux vivre-ensemble !

Militons très activement pour le droit des musulmans qui le souhaitent de quitter l’islam.
Commençons par refuser le financement d’une grande mosquée à Saint-André par un prince saoudien.
Car c’est de l’argent sale.

L’argent provenant d’une dictature sombre telle que la pétrolifère Arabie saoudite qui piétine en permanence les droits de l’homme (flagellation, décapitation, lapidation) ne peut -en aucun cas- être de l’argent propre.

Armand GUNET
www.reagissons-la-reunion.fr

 

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