Mardi 21 juillet, les transporteurs s'étaient rendus devant les grilles de la pyramide inversée afin de manifester leur colère quant à l’arrêt du chantier de la digue de la NRL. Après plusieurs jours de blocage, le tribunal avait ordonné aux professionnels du transport de lever le camp sous peine de se voir infliger 2 000€ d’astreinte par heure de blocage. Malgré cela, les transporteurs n’étaient pas décidés à lâcher la pression.
Une pression qui avait poussé la préfecture à organiser une réunion le 30 juillet dernier pour mettre autour de la table la Région, l’État et le Groupement SBTPC-GTOI-Vinci. Après deux jours d’âpres négociations, Didier Robert a annoncé une rallonge de 40 millions et une reprise du chantier le 15 septembre.
Mais pour certains professionnels du transport, dont Didier Hoareau, le président de l’OTI, cette date du 15 septembre est trop éloignée. De plus, les transporteurs estiment être "dans le flou" sur les modalités de cet accord qui ne sont toujours pas connues. Pour obtenir plus de réponses, ils ont donc demandé audience avec le président de Région.
"Nous venons exprimer au président de région notre inquiétudes sur le délai de démarrage de ce chantier", affirme Jean-Bernard Caroupaye, à l'arrivée des transporteurs devant l'hôtel de région, espérant un démarrage "même à faible allure, ce serait une bouffée d'oxygène pour maintenir les entreprises en vie".
Une pression qui avait poussé la préfecture à organiser une réunion le 30 juillet dernier pour mettre autour de la table la Région, l’État et le Groupement SBTPC-GTOI-Vinci. Après deux jours d’âpres négociations, Didier Robert a annoncé une rallonge de 40 millions et une reprise du chantier le 15 septembre.
Mais pour certains professionnels du transport, dont Didier Hoareau, le président de l’OTI, cette date du 15 septembre est trop éloignée. De plus, les transporteurs estiment être "dans le flou" sur les modalités de cet accord qui ne sont toujours pas connues. Pour obtenir plus de réponses, ils ont donc demandé audience avec le président de Région.
"Nous venons exprimer au président de région notre inquiétudes sur le délai de démarrage de ce chantier", affirme Jean-Bernard Caroupaye, à l'arrivée des transporteurs devant l'hôtel de région, espérant un démarrage "même à faible allure, ce serait une bouffée d'oxygène pour maintenir les entreprises en vie".