
Photo d'archive
Reçus jeudi à la Région, les transporteurs ont émis la possibilité de déposer un préavis de grève dans les prochains jours.
En cause, les dettes sociales et fiscales des entreprises, dont les transporteurs, la FNTR en tête, demandent le gel temporaire. Les différents syndicats ont donc interpellé le président de la Région, Didier Robert qui a pris position en faveur d'un gel des dettes.
Le plan d'actions de l'Etat pour lutter contre les dettes sociales et fiscales est en effet jugé très insuffisant et pas adapté par les professionnels de la route. "Si on continue comme ça, on va emmener les entreprises à l'abattoir", souligne Jean-Bernard Caroupaye, le président de la FNTR. "Cela fait quinze jours que tous les transporteurs me poussent à faire grève. Si on ne trouve pas de solution rapidement, les transporteurs vont descendre dans la rue", ajoute le syndicaliste. Mais Jean-Bernard Caroupaye espère ne pas en arriver là et se montre pour le moment favorable "un dialogue avec l'Etat".
Jeudi, un accord a été acté entre Didier Robert et les transporteurs, qui demandent de concert "un gel temporaire des dettes sociales et fiscales des entreprises dans l'attente de la relance de la commande publique".
Le président de Région a promis aux transporteurs d'alerter le préfet sur cette question pour qu'une réunion soit organisée et que le plan d'actions de l'Etat soit remanié. Après les conflits de Carrefour, le blocage du port, la grève chez Renault ou encore à la Cilam, un nouveau mouvement de grève pourrait malgré tout voir le jour dans les prochains jours...
En cause, les dettes sociales et fiscales des entreprises, dont les transporteurs, la FNTR en tête, demandent le gel temporaire. Les différents syndicats ont donc interpellé le président de la Région, Didier Robert qui a pris position en faveur d'un gel des dettes.
Le plan d'actions de l'Etat pour lutter contre les dettes sociales et fiscales est en effet jugé très insuffisant et pas adapté par les professionnels de la route. "Si on continue comme ça, on va emmener les entreprises à l'abattoir", souligne Jean-Bernard Caroupaye, le président de la FNTR. "Cela fait quinze jours que tous les transporteurs me poussent à faire grève. Si on ne trouve pas de solution rapidement, les transporteurs vont descendre dans la rue", ajoute le syndicaliste. Mais Jean-Bernard Caroupaye espère ne pas en arriver là et se montre pour le moment favorable "un dialogue avec l'Etat".
Jeudi, un accord a été acté entre Didier Robert et les transporteurs, qui demandent de concert "un gel temporaire des dettes sociales et fiscales des entreprises dans l'attente de la relance de la commande publique".
Le président de Région a promis aux transporteurs d'alerter le préfet sur cette question pour qu'une réunion soit organisée et que le plan d'actions de l'Etat soit remanié. Après les conflits de Carrefour, le blocage du port, la grève chez Renault ou encore à la Cilam, un nouveau mouvement de grève pourrait malgré tout voir le jour dans les prochains jours...