Elles ont eu gain de cause hier en fin d'après-midi mais les six familles relogés temporairement au village VVF de l'Ermitage sont encore venus mettre la pression devant le parterre de la mairie centrale de Saint-Paul.
"Nous sommes solidaires de la dernière famille qui n'a pas obtenu satisfaction", clame Raïssa Louise, la porte parole des familles de l'Eperon. La dernière personne concernée, sa sœur a refusé une proposition de logement située à Plateau Caillou, cité Baobab. "On ne lui a proposé qu'une seule solution et pas deux comme le dit la SEDRE", poursuit la porte-parole.
"Nous sommes solidaires de la dernière famille qui n'a pas obtenu satisfaction", clame Raïssa Louise, la porte parole des familles de l'Eperon. La dernière personne concernée, sa sœur a refusé une proposition de logement située à Plateau Caillou, cité Baobab. "On ne lui a proposé qu'une seule solution et pas deux comme le dit la SEDRE", poursuit la porte-parole.

Malgré ce dernier accroc, celle-ci reconnaît l'avancée significative obtenue hier en fin d'après-midi. "Notre réunion avec M. Fromens de l'ADEP, de M. Gamarus (premier adjoint) et de M. Payet (DGS) a permis de loger ces familles au VVF de l'Ermitage".
Prêtes à retourner squatter à l'Eperon
Une solution qui repousse un peu plus loin l'échéance. Dans deux mois, une autre porte de sortie devra être trouvée. Mais quelle solution pour la mairie, qui défend bec et ongles le respect de l'attribution des logements par la commission du même nom ?
Aux dernières nouvelles, vers midi, la mairie proposait de régler le dernier cas litigieux, celui de Marie-Séverine Louise, dans la journée. Celle-ci squatte depuis quatre ans un logement vide à l'Eperon quartier Lavoir 1.
Pourtant, la discussion ce matin à 9h avec une représentante du Département et le directeur de la SEDRE n'a rien donné. Et Raïssa Louise de menacer à nouveau : "Si la situation n'est pas réglée, on retournera à Bois de Corail (à l'Eperon, ndlr). Pour le moment nous restons devant la mairie, nous sommes solidaires jusqu'au bout".
Prêtes à retourner squatter à l'Eperon
Une solution qui repousse un peu plus loin l'échéance. Dans deux mois, une autre porte de sortie devra être trouvée. Mais quelle solution pour la mairie, qui défend bec et ongles le respect de l'attribution des logements par la commission du même nom ?
Aux dernières nouvelles, vers midi, la mairie proposait de régler le dernier cas litigieux, celui de Marie-Séverine Louise, dans la journée. Celle-ci squatte depuis quatre ans un logement vide à l'Eperon quartier Lavoir 1.
Pourtant, la discussion ce matin à 9h avec une représentante du Département et le directeur de la SEDRE n'a rien donné. Et Raïssa Louise de menacer à nouveau : "Si la situation n'est pas réglée, on retournera à Bois de Corail (à l'Eperon, ndlr). Pour le moment nous restons devant la mairie, nous sommes solidaires jusqu'au bout".