Une trentaine de soldats du feu sont mobilisés devant leur caserne de Saint-Pierre à l’appel du syndicat Action Catégorie C. Le service de secours est, pour autant, assuré par l'équipe de garde.
Ils demandent le respect et la mise en place de la directive européenne concernant le temps de travail. "La direction ne veut pas entendre parler de la journée de 12H alors qu’elle a été mise en place à Saint-Denis", déplore Christophe Tonru, sergent chef et membre du syndicat. Actuellement les effectifs de la caserne sudiste fonctionnent sur 24H payées 17,44 heures. "Nous donnons ainsi environ 550H/an au SDIS", calcule-t-il.
Le débrayage a également pour objectif de mettre en lumière une perte d’effectifs depuis trois ans, "ce qui a des répercussions sur les interventions et favorise les risques psychosociaux".
"Nous sommes le deuxième centre de l’île et nous nous sentons délaissés malgré les courriers et les réunions". Le syndicat espère par cette action va ramener la direction à la table des négociations, faute de quoi "le mouvement pourrait se durcir", prévient Action Catégorie C.
Ils demandent le respect et la mise en place de la directive européenne concernant le temps de travail. "La direction ne veut pas entendre parler de la journée de 12H alors qu’elle a été mise en place à Saint-Denis", déplore Christophe Tonru, sergent chef et membre du syndicat. Actuellement les effectifs de la caserne sudiste fonctionnent sur 24H payées 17,44 heures. "Nous donnons ainsi environ 550H/an au SDIS", calcule-t-il.
Le débrayage a également pour objectif de mettre en lumière une perte d’effectifs depuis trois ans, "ce qui a des répercussions sur les interventions et favorise les risques psychosociaux".
"Nous sommes le deuxième centre de l’île et nous nous sentons délaissés malgré les courriers et les réunions". Le syndicat espère par cette action va ramener la direction à la table des négociations, faute de quoi "le mouvement pourrait se durcir", prévient Action Catégorie C.