Les 180 salariés des Brasseries de Bourbon, en grève depuis le 5 mai dans le cadre des NAO, et la direction ont signé cet après-midi un accord de fin de conflit au terme d’une énième réunion de négociation. Certains reprendront le chemin du travail dès ce soir.
Pourtant, la direction en grève a maintenu sa proposition de revalorisation des salaires de 0,8%, alors que le personnel réclamait initialement 2%. Elle a également refusé de rémunérer les jours de grève. Un effort a néanmoins été fait sur la prime de participation aux bénéfices perçues par l’entreprise, "en baisse constante depuis 3 ans" comme l’indique Prosper Dalleau de la CDFT.
"On ne peut pas obtenir tout ce qu’on veut, admet le délégué syndical, mais cette fin de conflit est une victoire pour tous les salariés. Nous sommes fiers d’avoir tenu bon face à une direction fermée et intransigeante qui a tenté de nous diviser sans y parvenir."
"Une entreprise ne doit pas être modèle uniquement dans les chiffres poursuit-il, mais aussi dans sa capacité à instaurer un bon climat de travail."
Pourtant, la direction en grève a maintenu sa proposition de revalorisation des salaires de 0,8%, alors que le personnel réclamait initialement 2%. Elle a également refusé de rémunérer les jours de grève. Un effort a néanmoins été fait sur la prime de participation aux bénéfices perçues par l’entreprise, "en baisse constante depuis 3 ans" comme l’indique Prosper Dalleau de la CDFT.
"On ne peut pas obtenir tout ce qu’on veut, admet le délégué syndical, mais cette fin de conflit est une victoire pour tous les salariés. Nous sommes fiers d’avoir tenu bon face à une direction fermée et intransigeante qui a tenté de nous diviser sans y parvenir."
"Une entreprise ne doit pas être modèle uniquement dans les chiffres poursuit-il, mais aussi dans sa capacité à instaurer un bon climat de travail."