Près de 400 salariés de l'ARAST ont manifesté ce matin devant les grilles du siège à Saint-Denis pour protester contre un plan de sauvegarde de l'emploi (en language courant un plan de licenciement) mis en place par la direction.
Exaspérés par la situation, ces derniers ont demandé que le président de l’association vienne les voir. Et pour montrer leur mécontentement, les salariés ont bloqué la route devant l’établissement jusqu’ à midi. Conscient de la situation et que certains emplois seront supprimés, ils réclament un plan de restructuration afin de limiter la casse. L’un d’eux a souhaité rappeler que l’ARAST fait du social et s’occupe souvent des personnes dans la précarité. "Désormais nous allons nous aussi être dans une situation précaire et morose" regrette le gréviste.
Sur les 1400 salariés de l’ARAST, une partie des 500 qui travaillent dans le Sud de l’île n’ont pas pu se rendre dans la capitale du fait des difficultés de circulation. Contacté par le directeur Patrick Jacquemart, le président de l'association a rappelé que des engagements professionnels l’empêchent de se rendre sur les lieux et qu’une rencontre est déjà prévue à 17h30 avec l’intersyndicale.
Exaspérés par la situation, ces derniers ont demandé que le président de l’association vienne les voir. Et pour montrer leur mécontentement, les salariés ont bloqué la route devant l’établissement jusqu’ à midi. Conscient de la situation et que certains emplois seront supprimés, ils réclament un plan de restructuration afin de limiter la casse. L’un d’eux a souhaité rappeler que l’ARAST fait du social et s’occupe souvent des personnes dans la précarité. "Désormais nous allons nous aussi être dans une situation précaire et morose" regrette le gréviste.
Sur les 1400 salariés de l’ARAST, une partie des 500 qui travaillent dans le Sud de l’île n’ont pas pu se rendre dans la capitale du fait des difficultés de circulation. Contacté par le directeur Patrick Jacquemart, le président de l'association a rappelé que des engagements professionnels l’empêchent de se rendre sur les lieux et qu’une rencontre est déjà prévue à 17h30 avec l’intersyndicale.