La case Marmailles du Portail à Piton Saint-Leu en pleine turbulence. Aucun enfant n'a franchi la porte de la structure petite enfance depuis lundi. La faute à une grève qui mobilise les 16 salariées passablement remontées contre un retard de salaire.
Une réunion de mise à plat de la situation de la crèche qui s'est tenue ce mercredi après-midi n'a donné aucun résultat si ce n'est raviver un peu plus la colère des femmes en charge de l'encadrement de la soixantaine d'enfants qui sont confiés à la structure chaque jour.
"Nous avons eu des promesses du directeur il y a deux semaines, comme quoi il ne fallait être patiente", décrit l'une d'elles. Promesses évidemment non tenues au vu de la paralysie que traverse la crèche depuis lundi. Selon les informations relayées par les grévistes soutenus par le syndicat Union régionale, la crèche privée occupant un local mis à disposition par la commune, fait face à d'énormes difficultés financières. N'ayant pu être vérifié ce mercredi soir à l'issue de cette réunion entre la direction et les salariés, nous ne communiquerons pas ce montant pour le moment.
"Nous sommes des mamans. Il n'y a que des femmes sur la quinzaine de salariées. Nous rencontrons des difficultés financières et nous n'avons toujours pas été payées pour le mois de septembre", informe une salariée. Outre le fait qu'elle pénalise les salariés de Case Marmailles, cette grève se répercute sur les parents, sans solution immédiate d'accueil pour leur enfant.
Une réunion de mise à plat de la situation de la crèche qui s'est tenue ce mercredi après-midi n'a donné aucun résultat si ce n'est raviver un peu plus la colère des femmes en charge de l'encadrement de la soixantaine d'enfants qui sont confiés à la structure chaque jour.
"Nous avons eu des promesses du directeur il y a deux semaines, comme quoi il ne fallait être patiente", décrit l'une d'elles. Promesses évidemment non tenues au vu de la paralysie que traverse la crèche depuis lundi. Selon les informations relayées par les grévistes soutenus par le syndicat Union régionale, la crèche privée occupant un local mis à disposition par la commune, fait face à d'énormes difficultés financières. N'ayant pu être vérifié ce mercredi soir à l'issue de cette réunion entre la direction et les salariés, nous ne communiquerons pas ce montant pour le moment.
"Nous sommes des mamans. Il n'y a que des femmes sur la quinzaine de salariées. Nous rencontrons des difficultés financières et nous n'avons toujours pas été payées pour le mois de septembre", informe une salariée. Outre le fait qu'elle pénalise les salariés de Case Marmailles, cette grève se répercute sur les parents, sans solution immédiate d'accueil pour leur enfant.