
Professionnels de la glisse, restaurateurs de plage, hôteliers,... tous déclinent un énième message de secours
Les 10 syndicats et groupements de professionnels du tourisme* signataires d'un courrier commun attendent une plus grande activation des pouvoirs publics face aux conséquences de la crise requin sur leur activité.
Selon les professionnels, l’ouverture du guichet unique ne répond que partiellement aux difficultés rencontrées par les entreprises impactées. Ils réclament la mise en place de fonds d’indemnisation pour les entreprises directement touchées par cette crise avec en première ligne les entreprises de surf puis celles de plongée.
"La moitié des emplois sont déjà perdus", font-ils ressortir, et d'autres fermetures pourraient intervenir d’ici 4 à 5 mois "si des solutions permettant un retour à la confiance ne sont pas trouvées."
Un fonds de reconversion pour les professionnels du surf et chefs d’entreprise fait également partie des attentes fortement exprimées depuis plusieurs mois et sans réponse à ce jour.
Le rétablissement de la confiance autour des activités de baignade demeure le préalable selon le communiqué de ces 10 organisations. "Des dispositifs de sécurisation des activités nautiques sont en cours d’étude mais ne sont toujours pas opérationnels et aucune mesure n’a été prise pour la sécurisation urgente des spots de surf qui continuent à être fréquentés", insiste le collectif.
Face à ce constat, un comité de pilotage technique s’est constitué afin de faire une proposition de dispositif de sécurisation des activités de surf, body board, paddle, en faisant appel aux structures professionnelles de plongée dans l’attente de voir aboutir les projets déjà en cours mais soumis à une évaluation scientifique comme celui de "vigie requin immergée" et "cap requin".
Le collectif compte renouveler son message d'alerte en direction des pouvoirs publics ce mardi à Boucan Canot.
* Le Club du Tourisme, le SYPRAL, l’UHR, l’UMIH, le SNAV, le MEDEF, la CGPME, DEFIT, le SICR et le GPP
Selon les professionnels, l’ouverture du guichet unique ne répond que partiellement aux difficultés rencontrées par les entreprises impactées. Ils réclament la mise en place de fonds d’indemnisation pour les entreprises directement touchées par cette crise avec en première ligne les entreprises de surf puis celles de plongée.
"La moitié des emplois sont déjà perdus", font-ils ressortir, et d'autres fermetures pourraient intervenir d’ici 4 à 5 mois "si des solutions permettant un retour à la confiance ne sont pas trouvées."
Un fonds de reconversion pour les professionnels du surf et chefs d’entreprise fait également partie des attentes fortement exprimées depuis plusieurs mois et sans réponse à ce jour.
Le rétablissement de la confiance autour des activités de baignade demeure le préalable selon le communiqué de ces 10 organisations. "Des dispositifs de sécurisation des activités nautiques sont en cours d’étude mais ne sont toujours pas opérationnels et aucune mesure n’a été prise pour la sécurisation urgente des spots de surf qui continuent à être fréquentés", insiste le collectif.
Face à ce constat, un comité de pilotage technique s’est constitué afin de faire une proposition de dispositif de sécurisation des activités de surf, body board, paddle, en faisant appel aux structures professionnelles de plongée dans l’attente de voir aboutir les projets déjà en cours mais soumis à une évaluation scientifique comme celui de "vigie requin immergée" et "cap requin".
Le collectif compte renouveler son message d'alerte en direction des pouvoirs publics ce mardi à Boucan Canot.
* Le Club du Tourisme, le SYPRAL, l’UHR, l’UMIH, le SNAV, le MEDEF, la CGPME, DEFIT, le SICR et le GPP