C'est une part importante du budget de la plupart des ménages. Les prix des carburants connaissent une hausse régulière depuis plusieurs mois, au point que le cours actuel du gazole, le carburant le plus consommé en France, vient de battre un nouveau record : 1,62 € le litre.
Le précédent record datait de 2018, un peu plus d'un mois avant le début du mouvement des "Gilets jaunes". Le litre s'achetait alors 1,5331 €.
Le responsable direct est l'envolée du cours du pétrole dit "de Brent", un carburant brut qui sert de référence pour les prix, qui est en forte augmentation depuis le 1er décembre dernier. En 1 an, son cours a augmenté de près de 60 %.
Le gouvernement est bien conscient de l'impact de ces augmentations sur les budgets des ménages et craint un nouveau mouvement des "Gilets jaunes", même si pour le moment le nombre des manifestants n'augmente pas lors des traditionnels défilés du samedi. C'est la raison pour laquelle, en octobre 2021, Jean Castex avait annoncé une prime inflation de 100 € pour aider les ménages à faire face, notamment, à la hausse des prix des carburants. Il est à craindre que ce ne soit pas suffisant, car, dans le même temps, le prix du fuel qui sert au chauffage en cette période d'hiver métropolitain ne cesse lui aussi de croître.
D'autant qu'il est à craindre que cette augmentation ne continue dans les semaines et mois à venir.
A court terme, le pétrole de Brent a connu une hausse de plus de 21 % en un mois et de près de 1 % en une semaine. Cette nouvelle augmentation va donc, automatiquement, se répercuter sur les prix des carburants à la pompe.
A plus long terme, la fin de la pandémie dans le monde va encore accroître la demande de pétrole et entrainer une hausse proportionnelle des prix. Le prix du Brent était hier de 87 $ le baril et les spécialistes tablent sur le franchissement à terme du seuil des 100 $.
Avec les conséquences que l'on peut imaginer sur le pouvoir d'achat des Français, à la veille des élections présidentielles.
Le précédent record datait de 2018, un peu plus d'un mois avant le début du mouvement des "Gilets jaunes". Le litre s'achetait alors 1,5331 €.
Le responsable direct est l'envolée du cours du pétrole dit "de Brent", un carburant brut qui sert de référence pour les prix, qui est en forte augmentation depuis le 1er décembre dernier. En 1 an, son cours a augmenté de près de 60 %.
Le gouvernement est bien conscient de l'impact de ces augmentations sur les budgets des ménages et craint un nouveau mouvement des "Gilets jaunes", même si pour le moment le nombre des manifestants n'augmente pas lors des traditionnels défilés du samedi. C'est la raison pour laquelle, en octobre 2021, Jean Castex avait annoncé une prime inflation de 100 € pour aider les ménages à faire face, notamment, à la hausse des prix des carburants. Il est à craindre que ce ne soit pas suffisant, car, dans le même temps, le prix du fuel qui sert au chauffage en cette période d'hiver métropolitain ne cesse lui aussi de croître.
D'autant qu'il est à craindre que cette augmentation ne continue dans les semaines et mois à venir.
A court terme, le pétrole de Brent a connu une hausse de plus de 21 % en un mois et de près de 1 % en une semaine. Cette nouvelle augmentation va donc, automatiquement, se répercuter sur les prix des carburants à la pompe.
A plus long terme, la fin de la pandémie dans le monde va encore accroître la demande de pétrole et entrainer une hausse proportionnelle des prix. Le prix du Brent était hier de 87 $ le baril et les spécialistes tablent sur le franchissement à terme du seuil des 100 $.
Avec les conséquences que l'on peut imaginer sur le pouvoir d'achat des Français, à la veille des élections présidentielles.