
Les automobilistes réunionnais vont devoir passer à la caisse dès le mois de prochain pour faire le plein de gasoil ou de sans-plomb. Selon le Quotidien, les prix à la pompe devrait s'envoler au mois de septembre et atteindre un niveau historique. Une hausse minimale de 10 centimes pour le sans-plomb et de 5 centimes pour le gasoil est à prévoir.
Une hausse qui intervient dans un contexte international particulièrement tendu, guerre en Syrie et tension entre Israël et l'Iran, et une "parité euro-dollar", souligne le journal, peu favorable à une baisse du carburant (actuellement 1 euro pour 1,23$). Cette hausse des carburants est à inscrire également dans un contexte de hausse mondiale. Les prix à la pompe ont augmenté de 5 centimes en métropole entre le mois de juillet et d'août pour s'établir en moyenne à 1,42 euro le litre de gasoil et 1,61 euro le litre de sans-plomb. Des prix qui devraient continuer de s'envoler dans le courant du mois d'août.
Comment les collectivités et l'Etat vont-elle gérer cette nouvelle hausse ? On se souvient qu'au mois de février les prix à la pompe avaient atteint un record. Les transporteurs routiers avaient bloqué l'île et des violences urbaines avaient éclaté dans différentes communes de la Réunion. Le record de février est en passe d'être supplanté au mois de septembre. En début d'année le litre de gasoil et de sans-plomb se vendaient respectivement à 1,29 euro et 1,66 euro à la pompe. Le mois prochain, les automobilistes pourraient débourser, à en croire le Quotidien, entre 1,71 et 1,73 euro le litre de sans-plomb et entre 1,31 et 1,32 euro le litre de gasoil.
Reste le gel des prix annoncé par le président François Hollande, une promesse de campagne qui doit être abordée en réunion inter-ministérielle demain. Quand à la Région, est-elle capable de geler à nouveau les prix des carburants ? Reste à trouver rapidement un "équilibre de la fiscalité entre carburants", souligne le Quotidien pour éviter une trop forte hausse du sans-plomb le mois prochain, l'octroi de mer sur le sans-plomb est de 22,5% du prix CAF (Coût/Assurance/Fret) contre 5% pour le gasoil.
Une hausse qui intervient dans un contexte international particulièrement tendu, guerre en Syrie et tension entre Israël et l'Iran, et une "parité euro-dollar", souligne le journal, peu favorable à une baisse du carburant (actuellement 1 euro pour 1,23$). Cette hausse des carburants est à inscrire également dans un contexte de hausse mondiale. Les prix à la pompe ont augmenté de 5 centimes en métropole entre le mois de juillet et d'août pour s'établir en moyenne à 1,42 euro le litre de gasoil et 1,61 euro le litre de sans-plomb. Des prix qui devraient continuer de s'envoler dans le courant du mois d'août.
Comment les collectivités et l'Etat vont-elle gérer cette nouvelle hausse ? On se souvient qu'au mois de février les prix à la pompe avaient atteint un record. Les transporteurs routiers avaient bloqué l'île et des violences urbaines avaient éclaté dans différentes communes de la Réunion. Le record de février est en passe d'être supplanté au mois de septembre. En début d'année le litre de gasoil et de sans-plomb se vendaient respectivement à 1,29 euro et 1,66 euro à la pompe. Le mois prochain, les automobilistes pourraient débourser, à en croire le Quotidien, entre 1,71 et 1,73 euro le litre de sans-plomb et entre 1,31 et 1,32 euro le litre de gasoil.
Reste le gel des prix annoncé par le président François Hollande, une promesse de campagne qui doit être abordée en réunion inter-ministérielle demain. Quand à la Région, est-elle capable de geler à nouveau les prix des carburants ? Reste à trouver rapidement un "équilibre de la fiscalité entre carburants", souligne le Quotidien pour éviter une trop forte hausse du sans-plomb le mois prochain, l'octroi de mer sur le sans-plomb est de 22,5% du prix CAF (Coût/Assurance/Fret) contre 5% pour le gasoil.