Après une heure d'attente dans une salle de l'aéroport, les familles des rescapés réunionnais ont retrouvé père, soeur, tante… Moment d'émotion intense, jeunes comme plus âgés ont fondu en larmes dans les bras de leurs proches.
Très vite, les langues se délient, les anecdotes tombent. La parole devient libératrice, une première façon de réagir face au choc psychologique vécu.
"La prise en charge a été bonne. On est sain et sauf. On a eu très peur (larmes). On était au restaurant quand tout s'est renversé. Je suis contente de rentrer", explique Annie, 57 ans, originaire du Tampon.
Marie-Lucette a 72 ans. Cette gramoune de l'Etang-Salé va voir la famille de deux autres jeunes qui étaient avec elle sur le bateau : "Vos garçons m'ont sauvée. J'ai quitté le bateau en pyjama avec eux. Je suis heureuse de retrouver mon fils aujourd'hui", lance-t-elle.
Pas très loin, les membres de la cellule d'urgence médico psychologique diffuse les informations utiles aux familles. Après un choc ou un stress, le comportement de certains peut être différent. Les familles sont invitées à être vigilantes dans les semaines à venir, et si nécessaire, à prendre contact avec la cellule pour un éventuel suivi médical.
Très vite, les langues se délient, les anecdotes tombent. La parole devient libératrice, une première façon de réagir face au choc psychologique vécu.
"La prise en charge a été bonne. On est sain et sauf. On a eu très peur (larmes). On était au restaurant quand tout s'est renversé. Je suis contente de rentrer", explique Annie, 57 ans, originaire du Tampon.
Marie-Lucette a 72 ans. Cette gramoune de l'Etang-Salé va voir la famille de deux autres jeunes qui étaient avec elle sur le bateau : "Vos garçons m'ont sauvée. J'ai quitté le bateau en pyjama avec eux. Je suis heureuse de retrouver mon fils aujourd'hui", lance-t-elle.
Pas très loin, les membres de la cellule d'urgence médico psychologique diffuse les informations utiles aux familles. Après un choc ou un stress, le comportement de certains peut être différent. Les familles sont invitées à être vigilantes dans les semaines à venir, et si nécessaire, à prendre contact avec la cellule pour un éventuel suivi médical.