
Le maire du Port a répondu à l'impatience des pompiers sur la livraison de leur nouveau centre
Le maire du Port répond aux attentes des sapeurs pompiers installés sur sa commune. Ces derniers avaient manifesté la semaine dernière sur le terrain en friche de la Zac 2000 qui devait accueillir leur nouvelle caserne pour ce premier semestre 2016. Mais sur la parcelle, aucune ombre d'un engin de chantier.
Leur coup de gueule semble avoir accéléré le processus administratif entre SDIS et mairie du Port.
"Nous avons organisé ce jeudi une réunion de travail avec l’ensemble des parties concernées par le projet de construction d’un centre de secours sur notre territoire, informe Olivier Hoarau. Les services du SDIS, la SPL Avenir, maître d’ouvrage du projet pour le compte de la Ville et les services de la Mairie ont évoqué ensemble le calendrier. Nous nous sommes engagés à respecter le programme de travaux dans la limite du budget initial approuvé en 2012 et la SPL Avenir s'est engagée à respecter les délais avec un démarrage des travaux au plus tard le 1er février 2017", s'engage-t-il avant d'avoir un mot de soutien sur les conditions difficiles d'intervention des sapeurs qui sont obligés parfois de réclamer la protection des policiers pour intervenir.
Leur coup de gueule semble avoir accéléré le processus administratif entre SDIS et mairie du Port.
"Nous avons organisé ce jeudi une réunion de travail avec l’ensemble des parties concernées par le projet de construction d’un centre de secours sur notre territoire, informe Olivier Hoarau. Les services du SDIS, la SPL Avenir, maître d’ouvrage du projet pour le compte de la Ville et les services de la Mairie ont évoqué ensemble le calendrier. Nous nous sommes engagés à respecter le programme de travaux dans la limite du budget initial approuvé en 2012 et la SPL Avenir s'est engagée à respecter les délais avec un démarrage des travaux au plus tard le 1er février 2017", s'engage-t-il avant d'avoir un mot de soutien sur les conditions difficiles d'intervention des sapeurs qui sont obligés parfois de réclamer la protection des policiers pour intervenir.