Parti communiste français :
Pierre Laurent, secrétaire national du PCF : « La politique annoncée est plus droitière que jamais, symbolisée par l’arrivée d’Emmanuel Macron, homme-clé des banques et de la finance. L’exécutif s’enfonce dans une impasse dangereuse pour la France « .
Parti socialiste :
Jean-Pierre Bel, président du Sénat : « Ce nouveau gouvernement répond à l’enjeu de la clarification et à la volonté d’œuvrer pour redresser le pays dans la justice sociale. Les défis liés à la situation économique, au drame du chômage et à la redéfinition d’une ambition européenne forte exigent pour y faire face que le gouvernement fasse preuve d’une solidarité sans faille et d’un dévouement, sans arrière-pensées, au service de nos concitoyens ».
– Bruno Le Roux, président du groupe PS à l’Assemblée nationale : « Le gouvernement peut compter sur l’appui intact du groupe socialiste et de sa majorité parlementaire » et basé sur trois « principes : respect du Parlement, liberté du débat, solidarité du vote. Je veillerai à ce que chaque terme en soit respecté ».
Laurent Baumel, député « frondeur » socialiste : La nomination d’Emmanuel Macron est une « provocation évidente ».
UDI :
– Philippe Vigier, président du groupe UDI à l’Assemblée nationale : « Le pseudo nouveau gouvernement de Manuel Valls ne sera pas plus efficace pour relever les défis auxquels le pays est confronté. Aujourd’hui, après ce remaniement, les doutes quant à la capacité et la volonté de l’exécutif de tourner le dos à la politique menée depuis maintenant plus de deux ans restent les mêmes ».
MoDem :
– Marielle de Sarnez : « Un remaniement sans imagination, sans surprise et qui ne règle rien des questions essentielles qui se posent au pays : la réalité des changements, le soutien populaire et l’assise politique ».
UMP :
Debout la République :
Parti chrétien démocrate :
Front national :