Le SNPL France ALPA confirme l’appel des pilotes d’Air Austral à la grève du vendredi 29 janvier au lundi 1er février inclus.
Dans un communiqué rédigé ce midi, les pilotes estiment que la direction d’Air Austral refuse la contre-proposition faite par le Bureau SNPL Air Austral et fait ainsi le choix de la grève.
"Dans sa volonté de protéger et de soutenir le cadre de l’entreprise à l’origine des troubles comme des pressions exercées sur certains pilotes, le Président Directeur Général, M. Malé fait un choix clair : celui de la grève !", déclare Vivien Rousseau, Président du Bureau Air Austral du SNPL France ALPA.
Le SNPL France ALPA dit regretter profondément le "management d’un autre âge, privilégiant l’égo à la négociation."
"Le comportement de la direction de notre compagnie est regrettable. Nous assistons à un simulacre de négociations auxquelles le Président Directeur Général, M. Malé, n’a jamais daigné participer. Qualifier un désaccord avec les représentants des salariés de « surenchère », c’est le degré zéro du dialogue social et la démonstration d’une conception royaliste des relations sociales », ajoute le syndicaliste.
Dans un communiqué rédigé ce midi, les pilotes estiment que la direction d’Air Austral refuse la contre-proposition faite par le Bureau SNPL Air Austral et fait ainsi le choix de la grève.
"Dans sa volonté de protéger et de soutenir le cadre de l’entreprise à l’origine des troubles comme des pressions exercées sur certains pilotes, le Président Directeur Général, M. Malé fait un choix clair : celui de la grève !", déclare Vivien Rousseau, Président du Bureau Air Austral du SNPL France ALPA.
Le SNPL France ALPA dit regretter profondément le "management d’un autre âge, privilégiant l’égo à la négociation."
"Le comportement de la direction de notre compagnie est regrettable. Nous assistons à un simulacre de négociations auxquelles le Président Directeur Général, M. Malé, n’a jamais daigné participer. Qualifier un désaccord avec les représentants des salariés de « surenchère », c’est le degré zéro du dialogue social et la démonstration d’une conception royaliste des relations sociales », ajoute le syndicaliste.