
À l'appel du syndicat FO -COM, les personnels de la société Orange Réunion Mayotte seront en grève ce mardi 13 juin à partir de 9h devant le siège social de l'entreprise de télécoms, au Chaudron. Ils dénoncent une charge de travail "qui s'accentue de plus en plus" et exigent des emplois et des augmentations de salaire.
L’action des grévistes action est motivée par les revendications suivantes :
Comme l'explique le syndicat FO-COM, la colère gronde chez les salariés de l'opérateur historique face à la charge de travail, provoquée par "le non-remplacement de ceux qui partent à la retraite". "On s ‘oriente aujourd’hui vers de l'emploi précaire dans l'entreprise, avec des CDD ou des contrats d’avenir. C’est dans ce cadre que nous intervenons, surtout quand il y a une souffrance au travail", dénonce le syndicat.
"Ce n'est pas tant la dématérialisation des tâches que nous critiquons mais la mutualisation et la délocalisation des activités. Nous demandons à Orange de faire du social dans l’île en gardant les emplois et de ne plus les délocaliser", termine FO-COM.
L’action des grévistes action est motivée par les revendications suivantes :
- 20 embauches en CDI sur la DORM pour pallier les départs.
- L’arrêt de l’externalisation, de la délocalisation, des mutualisations ; mais de l’embauche.
- 120 € (prime de vie chère) par mois pour tous les bas salaires en équité avec les Caraïbes.
- Le respect de tous les aspects de l’accord seniors (reconnaissance des carrières, promotions, formations, accompagnement obligatoire au départ à la retraite et en tps pour tous).
- Une réelle prise en compte de tous ceux qui n’ont pas eu de promotion depuis plus de 10 ans.
- Une réelle concertation avec les personnels, la prise en compte de situations individuelles pour les changements de régimes de travail et d’horaires qui sont actuellement imposés.
- La prise en charge intégrale des frais de parking pour le personnel des sites de la Compagnie, Chatel, Saint-Paul et Saint-Pierre
Comme l'explique le syndicat FO-COM, la colère gronde chez les salariés de l'opérateur historique face à la charge de travail, provoquée par "le non-remplacement de ceux qui partent à la retraite". "On s ‘oriente aujourd’hui vers de l'emploi précaire dans l'entreprise, avec des CDD ou des contrats d’avenir. C’est dans ce cadre que nous intervenons, surtout quand il y a une souffrance au travail", dénonce le syndicat.
"Ce n'est pas tant la dématérialisation des tâches que nous critiquons mais la mutualisation et la délocalisation des activités. Nous demandons à Orange de faire du social dans l’île en gardant les emplois et de ne plus les délocaliser", termine FO-COM.