
Les parents d'élèves ont décidé de lever le blocage qu'ils avaient constitué depuis ce matin devant le portail de l'établissement Louise Payet, à Saint-Paul.
Policiers municipaux et gendarmes étaient venus constater l'entrave mais les parents des 220 écoliers avaient décidé de ne pas lever leur camp sans la venue d'un élu. Ce sera le 1er adjoint Jean-Marc Gamarus qui assurera la médiation.
La réunion entre les parents, la mairie et le chef d'établissement a finalement permis de faire baisser la tension. Les premiers acceptant la levée de leur blocage contre la promesse d'un renfort en effectif. Leur mécontentement tournait autour de la sécurité des enfants aux abords de l'école (aide à l'accès de l'établissement), de l'accompagnement dans les bus ainsi que le soutien durant les interclasses.
Parmi les avancées obtenues, Stéphane Le Gall, directeur de l'école primaire Louise Payet, évoque ce midi la création d'un contrat pour l'encadrement des enfants. "Cet effort a été consenti vendredi dernier mais n'était pas parvenu jusqu'aux parents", regrette-t-il.
Pour l'heure, les parents "attendent de voir" la concrétisation des promesses de la mairie, même si Jean-Marc Gamarus n'a pas manqué de rappeler les contraintes qui pesaient sur l'enveloppe de contrats aidés à disposition de la commune. Pas de reprise des classes cet après-midi mais elle se fera mardi matin.
Policiers municipaux et gendarmes étaient venus constater l'entrave mais les parents des 220 écoliers avaient décidé de ne pas lever leur camp sans la venue d'un élu. Ce sera le 1er adjoint Jean-Marc Gamarus qui assurera la médiation.
La réunion entre les parents, la mairie et le chef d'établissement a finalement permis de faire baisser la tension. Les premiers acceptant la levée de leur blocage contre la promesse d'un renfort en effectif. Leur mécontentement tournait autour de la sécurité des enfants aux abords de l'école (aide à l'accès de l'établissement), de l'accompagnement dans les bus ainsi que le soutien durant les interclasses.
Parmi les avancées obtenues, Stéphane Le Gall, directeur de l'école primaire Louise Payet, évoque ce midi la création d'un contrat pour l'encadrement des enfants. "Cet effort a été consenti vendredi dernier mais n'était pas parvenu jusqu'aux parents", regrette-t-il.
Pour l'heure, les parents "attendent de voir" la concrétisation des promesses de la mairie, même si Jean-Marc Gamarus n'a pas manqué de rappeler les contraintes qui pesaient sur l'enveloppe de contrats aidés à disposition de la commune. Pas de reprise des classes cet après-midi mais elle se fera mardi matin.