
Les ouvriers de la SIB, filiale du groupe américain Colgate/Palmolive, reprennent leur poste ce matin au Port, même si le coeur n'y est pas vraiment.
Ce choix est assumé par le syndicaliste Jocelyn Rivière, qui y voit le signe envoyé à leur direction que les salariés ne veulent qu'une seule chose : "continuer à travailler".
Pourtant hier, les représentants du personnel avaient été déçus par le peu d'efforts concédés par leur hiérarchie. Ni l'opportunité de fermeture de l'usine, ni les éventuels reclassements des ouvriers n'ont été abordés, faute d'accord sur la forme. Le dialogue coince sur la convocation d'une expertise-comptable indépendante que refuserait la direction selon les syndicalistes.
En fin de matinée, les 28 ouvriers (+4 membres de la direction) de la société industrielle de Bourbon devraient recevoir la visite du député Thierry Robert. La SIB, installée depuis 1978, produit des nettoyants ménagers. Parmi les marques connues qui sortent de l'entrepôt de la zone industrielle du Port, citons l'eau de javel Lacroix, l'assouplissant Soupline ou encore le nettoyant Pax.
Ce choix est assumé par le syndicaliste Jocelyn Rivière, qui y voit le signe envoyé à leur direction que les salariés ne veulent qu'une seule chose : "continuer à travailler".
Pourtant hier, les représentants du personnel avaient été déçus par le peu d'efforts concédés par leur hiérarchie. Ni l'opportunité de fermeture de l'usine, ni les éventuels reclassements des ouvriers n'ont été abordés, faute d'accord sur la forme. Le dialogue coince sur la convocation d'une expertise-comptable indépendante que refuserait la direction selon les syndicalistes.
En fin de matinée, les 28 ouvriers (+4 membres de la direction) de la société industrielle de Bourbon devraient recevoir la visite du député Thierry Robert. La SIB, installée depuis 1978, produit des nettoyants ménagers. Parmi les marques connues qui sortent de l'entrepôt de la zone industrielle du Port, citons l'eau de javel Lacroix, l'assouplissant Soupline ou encore le nettoyant Pax.