A un mois et demi des Régionales, ceux qui tiraient jusqu'ici les ficelles de Nassimah Dindar dans l'ombre sont contraints à sortir du bois...
Jusqu'ici, comme j'ai déjà eu l'occasion de l'écrire, Gilbert Annette et Paul Vergès étaient étrangement silencieux, laissant Nassimah Dindar seule s'enfoncer dans la vase de l'ARAST.
Impossible cependant de laisser le dossier continuer à pourrir tranquillement, proximité des élections oblige. Il devenait urgentissime, à défaut d'offrir une solution aux pauvres ex-salariés, de donner l'impression qu'on s'intéressait à leur sort et qu'on compatissait. Histoire de se démarquer sans le dire de Nassimah, tout en redorant son propre blason.
Le premier à tirer a été Gilbert Annette, qui a "offert" un local aux ex-salariés. Les mauvaises langues disent qu'il l'a fait avec l'arrière pensée d'amener Martine Aubry les visiter, le 10 février prochain, lorsqu'elle débarquera dans l'ile, histoire de montrer que les socialistes se sont investis dans le dossier. On verra bien...
Ce faisant, Paul Vergès voyant son adversaire de toujours dégainer le premier, ne pouvait rester sans réagir. Dans l'urgence, et de façon tout à fait impromptue, il a "invité" les responsables de l'ARAST à venir lui rendre visite tard hier soir dans sa tour d'ivoire. Le deal proposé était simple : "Vous quittez les locaux du Conseil général, et en échange, nous mettons en place une cellule de reclassement, en liaison avec les maires, de façon à vous faire embaucher par les mairies". Ce qui soit-dit en passant, confirme ce que nous avons toujours écrit : ce sont bien les maires qui ont commandé la mort de l'ARAST à Nassimah, de façon à récupérer les compétences sur les vieux et les personnes fragiles, histoire de s'en faire un vivier de voix en vue des élections...
Chacun maintenant joue sa carte. Nul doute que nous aurons droit à d'autres "surprises" dans les semaines qui viennent, les élections se faisant de plus en plus proches...
Jusqu'ici, comme j'ai déjà eu l'occasion de l'écrire, Gilbert Annette et Paul Vergès étaient étrangement silencieux, laissant Nassimah Dindar seule s'enfoncer dans la vase de l'ARAST.
Impossible cependant de laisser le dossier continuer à pourrir tranquillement, proximité des élections oblige. Il devenait urgentissime, à défaut d'offrir une solution aux pauvres ex-salariés, de donner l'impression qu'on s'intéressait à leur sort et qu'on compatissait. Histoire de se démarquer sans le dire de Nassimah, tout en redorant son propre blason.
Le premier à tirer a été Gilbert Annette, qui a "offert" un local aux ex-salariés. Les mauvaises langues disent qu'il l'a fait avec l'arrière pensée d'amener Martine Aubry les visiter, le 10 février prochain, lorsqu'elle débarquera dans l'ile, histoire de montrer que les socialistes se sont investis dans le dossier. On verra bien...
Ce faisant, Paul Vergès voyant son adversaire de toujours dégainer le premier, ne pouvait rester sans réagir. Dans l'urgence, et de façon tout à fait impromptue, il a "invité" les responsables de l'ARAST à venir lui rendre visite tard hier soir dans sa tour d'ivoire. Le deal proposé était simple : "Vous quittez les locaux du Conseil général, et en échange, nous mettons en place une cellule de reclassement, en liaison avec les maires, de façon à vous faire embaucher par les mairies". Ce qui soit-dit en passant, confirme ce que nous avons toujours écrit : ce sont bien les maires qui ont commandé la mort de l'ARAST à Nassimah, de façon à récupérer les compétences sur les vieux et les personnes fragiles, histoire de s'en faire un vivier de voix en vue des élections...
Chacun maintenant joue sa carte. Nul doute que nous aurons droit à d'autres "surprises" dans les semaines qui viennent, les élections se faisant de plus en plus proches...