Les lingettes sont dangereuses pour la santé des bébés. Pourtant, selon un sondage, deux tiers des Français reconnaissent les utiliser pour nettoyer les fesses des plus petits.
Les lingettes contenant un conservateur, le phénoxyéthanol, soupçonné d'effets toxiques pour la reproduction. Du coup, l'Agence des Produits de Santé (ANSM) recommande ne pas les utiliser pour nettoyer les fesses des enfants de 3 ans ou moins.
Elle a donc décidé d'imposer aux fabricants des produits cosmétiques dits "non rincés" contenant cet agent conservateur, notamment toutes les lingettes y compris celles vendues pour adultes, de faire figurer sur l'étiquetage, au plus tard dans neuf mois, qu'ils ne peuvent pas être utilisés sur les fesses des enfants de 3 ans ou moins, car leur siège est "particulièrement sensible" avec un risque plus fréquent de peau lésée (érythème fessier) favorisant le passage du conservateur phénoxyéthanol dans le corps.
Des études toxicologiques suggèrent une toxicité du phénoxyéthanol pour la reproduction et le développement à fortes doses chez l'animal, sans que de tels effets aient été rapportés chez l'homme, note l'ANSM.
Les lingettes contenant un conservateur, le phénoxyéthanol, soupçonné d'effets toxiques pour la reproduction. Du coup, l'Agence des Produits de Santé (ANSM) recommande ne pas les utiliser pour nettoyer les fesses des enfants de 3 ans ou moins.
Elle a donc décidé d'imposer aux fabricants des produits cosmétiques dits "non rincés" contenant cet agent conservateur, notamment toutes les lingettes y compris celles vendues pour adultes, de faire figurer sur l'étiquetage, au plus tard dans neuf mois, qu'ils ne peuvent pas être utilisés sur les fesses des enfants de 3 ans ou moins, car leur siège est "particulièrement sensible" avec un risque plus fréquent de peau lésée (érythème fessier) favorisant le passage du conservateur phénoxyéthanol dans le corps.
Des études toxicologiques suggèrent une toxicité du phénoxyéthanol pour la reproduction et le développement à fortes doses chez l'animal, sans que de tels effets aient été rapportés chez l'homme, note l'ANSM.