
Jasmin est revendeur en légumes et fruits divers. Son étal est situé dans le centre commercial de Saint-André. Son “tas” de letchis est “bien rouge. Et c’est sucré”. Le carton sur lequel il a écrit en feutre noir 1€/kg, est également bien visible.
“Mais, même à un euro le kilo, les gens n’achètent pas”, regrette-t-il. Les letchis de Saint-Benoît, n’ont plus la cote? “En fait, comme il n’y a pas eu beaucoup d’eau depuis un mois, les letchis ont bien profité du soleil. Ils ont tous mûri à cette même période”, explique le revendeur.
La conséquence sera visible dès la semaine prochaine, aux différents points de vente habituels. “Il faut s’attendre à une surproduction. Pour vendre, on ira sans doute jusqu’à quatre kilos pour un euro”.
Cette bonne nouvelle pour les consommateurs, va sans doute relancer la polémique sur le volume de fret accordé aux producteurs locaux de letchis, à chaque fin d’année.
Un problème récurrent qui n’a toujours pas de début de solution puisque le coût de l’aérien, continue à faire débat alors que des tonnes de letchis “pourrissent au pied” chaque année.
“Mais, même à un euro le kilo, les gens n’achètent pas”, regrette-t-il. Les letchis de Saint-Benoît, n’ont plus la cote? “En fait, comme il n’y a pas eu beaucoup d’eau depuis un mois, les letchis ont bien profité du soleil. Ils ont tous mûri à cette même période”, explique le revendeur.
La conséquence sera visible dès la semaine prochaine, aux différents points de vente habituels. “Il faut s’attendre à une surproduction. Pour vendre, on ira sans doute jusqu’à quatre kilos pour un euro”.
Cette bonne nouvelle pour les consommateurs, va sans doute relancer la polémique sur le volume de fret accordé aux producteurs locaux de letchis, à chaque fin d’année.
Un problème récurrent qui n’a toujours pas de début de solution puisque le coût de l’aérien, continue à faire débat alors que des tonnes de letchis “pourrissent au pied” chaque année.