
Copie du courrier déposé par le journaliste dans les casiers des journalistes, à l'origine de sa convocation à un entretien préalable
C’est la convocation à un entretien préalable sans doute à un éventuel licenciement, envoyée à un journaliste responsable syndical qui a déclenché le mouvement de grève, hier après-midi. Il lui est reproché d'avoir rédigé un courrier "agressif" à l'encontre de Pascal Baudoin, en réponse à un courrier de ce dernier paru dans Zinfos (voir document ci-joint).
La rédaction s’est mobilisée comme un seul homme. Une assemblée générale s’est tenue vers 16h00 hier, entre la rédaction et le directeur général, Thierry Benbassat. Les journalistes ont demandé le retrait de la convocation à l’entretien préalable ( sans doute à un éventuel licenciement, rappel pour ceux qui n'ont pas encore compris). C’est leur condition pour arrêter la grève.
La rédaction s’est mobilisée comme un seul homme. Une assemblée générale s’est tenue vers 16h00 hier, entre la rédaction et le directeur général, Thierry Benbassat. Les journalistes ont demandé le retrait de la convocation à l’entretien préalable ( sans doute à un éventuel licenciement, rappel pour ceux qui n'ont pas encore compris). C’est leur condition pour arrêter la grève.

Thierry Benbassat a expliqué que l’entretien prévu était une réunion d’explication et rien d’autre. La rédaction a alors réitéré sa demande de retrait de la convocation à l'entretien préalable (sans doute à un éventuel licenciement, rappel pour...). Thierry Benbassat a répété le sens du courrier : une réunion d'explication. C’est donc l'impasse, chacun restant sur sa position.
La grève est donc maintenue au sein de la rédaction du Chaudron. Seuls trois journalistes continuent à travailler.
(NDLR du vendredi 19 décembre à 6h30: Le Quotidien est malgré tout sorti et est en vente ce matin)
La grève est donc maintenue au sein de la rédaction du Chaudron. Seuls trois journalistes continuent à travailler.
(NDLR du vendredi 19 décembre à 6h30: Le Quotidien est malgré tout sorti et est en vente ce matin)