
Les grévistes de Giordano passent à l'offensive. Après un mois d'un conflit stérile à camper devant le portail de l'entreprise au Port, ils ont investi ce matin à 10h les locaux de la société.
"Nous allons dormir ici ce soir !", expose Jean-Paul Hoarau, délégué syndical CFDT. "Nos affaires de couchage sont là", dit-il. Ils restent plus que jamais déterminés malgré la lassitude.
Ce coup de force s'est fait sans heurt et sans opposition ce matin. "Nous faisons cela sans empêcher les gens de travailler", explique le délégué.
Un entretien a eu lieu ce matin avec un membre de la direction de Giordano, sans succès. Un autre devait se tenir dans l'après-midi, vers 15h30.
Rappelons qu'ils sont six ouvriers de l'atelier de l'installateur de chauffe-eau à être sous la menace d'un licenciement économique.
Licenciement qu'ils contestent depuis un mois et qui a nécessité le déclenchement de la commission régionale de conciliation. C'était jeudi dernier à la Direction du travail à Saint-Denis sans que la promesse d'une résolution n'émerge.
"Nous allons dormir ici ce soir !", expose Jean-Paul Hoarau, délégué syndical CFDT. "Nos affaires de couchage sont là", dit-il. Ils restent plus que jamais déterminés malgré la lassitude.
Ce coup de force s'est fait sans heurt et sans opposition ce matin. "Nous faisons cela sans empêcher les gens de travailler", explique le délégué.
Un entretien a eu lieu ce matin avec un membre de la direction de Giordano, sans succès. Un autre devait se tenir dans l'après-midi, vers 15h30.
Rappelons qu'ils sont six ouvriers de l'atelier de l'installateur de chauffe-eau à être sous la menace d'un licenciement économique.
Licenciement qu'ils contestent depuis un mois et qui a nécessité le déclenchement de la commission régionale de conciliation. C'était jeudi dernier à la Direction du travail à Saint-Denis sans que la promesse d'une résolution n'émerge.