La direction des finances publiques a annoncé hier un renforcement des contrôles sur les 27.000 retraités de la fonction publique qui bénéficient de l’ITR (indemnisation temporaire de retraité), dite "prime de vie chère".
L’objectif est de mettre la main sur les fonctionnaires retraités qui perçoivent indûment cette majoration, fixée à 35% de salaire brut et qui représente un budget de 150 millions d’euros par an.
La chasse aux fraudeurs s’explique aussi par le contexte économique budgétaire difficile. Depuis 2009, les conditions pour avoir droit à la prime de vie sont d’ailleurs plus strictes. Un agent de la fonction publique doit en effet justifier de 15 années de service à la Réunion, être retraité depuis moins de 5 ans et bénéficier d’une retraite à taux plein pour en bénéficier.
Par ailleurs, le fonctionnaire n’a pas le droit de s’absenter de l’île plus de 90 jours par an sans le déclarer. Le cas échéant, il devra rembourser une partie de la prime. Prime qui pourra également être retirée définitivement en cas de fraude.
En 2014, 400 contrôles ont permis de récupérer 76.000€ de prestations indues.
L’objectif est de mettre la main sur les fonctionnaires retraités qui perçoivent indûment cette majoration, fixée à 35% de salaire brut et qui représente un budget de 150 millions d’euros par an.
La chasse aux fraudeurs s’explique aussi par le contexte économique budgétaire difficile. Depuis 2009, les conditions pour avoir droit à la prime de vie sont d’ailleurs plus strictes. Un agent de la fonction publique doit en effet justifier de 15 années de service à la Réunion, être retraité depuis moins de 5 ans et bénéficier d’une retraite à taux plein pour en bénéficier.
Par ailleurs, le fonctionnaire n’a pas le droit de s’absenter de l’île plus de 90 jours par an sans le déclarer. Le cas échéant, il devra rembourser une partie de la prime. Prime qui pourra également être retirée définitivement en cas de fraude.
En 2014, 400 contrôles ont permis de récupérer 76.000€ de prestations indues.