Fatigués mais toujours motivés, les ex-employés de l'Arast ont établi un camp de fortune hier soir dans le hall du Conseil Général à Saint-Denis. Quelques victuailles pour tenir, des draps étendus, certains ont même ramener leur matelas.
S'ils sont moins nombreux qu'hier, les ex-employés de l'Arast n'en démordent pas : ils ne partiront pas tant qu'il ne seront pas reçus par les élus du palais de la Source.
Les revendications sont elles aussi inchangées, les ex-employés réclament le versement de leur salaire du mois de décembre et leur indemnités de licenciement. Rappelons que ces familles sont dans le désarroi depuis le 27 novembre dernier.
S'ils sont moins nombreux qu'hier, les ex-employés de l'Arast n'en démordent pas : ils ne partiront pas tant qu'il ne seront pas reçus par les élus du palais de la Source.
Les revendications sont elles aussi inchangées, les ex-employés réclament le versement de leur salaire du mois de décembre et leur indemnités de licenciement. Rappelons que ces familles sont dans le désarroi depuis le 27 novembre dernier.