
C'est une nouvelle nuit passée sous les tentes pour la dizaine d'ex-salariées de l'Arast. Une dixième nuit passée devant les grilles du Département sans que la situation ne se soit débloquée. "Rien de nouveau" déclare fatiguée Mimose Libel, ex-salarié de l'Arast.
"Nous nous sentons abandonnées, pas écoutées... mais nous ne lâcherons rien", prévient-elle. Des ex-salariées déterminées et prêtes à passer les fêtes de fin d'année devant les grilles du Palais de la Source.
Ce matin, à défaut d'avoir une réponse du Département, elles ont reçu la visite de la Ligue des Droits de l'Homme qui souhaite se poser en "médiateur" pour qu'une table ronde soit ouverte le plus rapidement possible. "On a eu la visite de la Ligue des Droits de l'Homme ce matin. La ligue veut être la porte-parole des ex-Arast pour rencontrer la présidente (ndlr : Nassimah Dindar)", explique Mimose Libel.
En attendant une réponse de la part du Conseil général, les ex-salariées devraient passer une nouvelle nuit, la onzième, dans des tentes au pied du Département.
"Nous nous sentons abandonnées, pas écoutées... mais nous ne lâcherons rien", prévient-elle. Des ex-salariées déterminées et prêtes à passer les fêtes de fin d'année devant les grilles du Palais de la Source.
Ce matin, à défaut d'avoir une réponse du Département, elles ont reçu la visite de la Ligue des Droits de l'Homme qui souhaite se poser en "médiateur" pour qu'une table ronde soit ouverte le plus rapidement possible. "On a eu la visite de la Ligue des Droits de l'Homme ce matin. La ligue veut être la porte-parole des ex-Arast pour rencontrer la présidente (ndlr : Nassimah Dindar)", explique Mimose Libel.
En attendant une réponse de la part du Conseil général, les ex-salariées devraient passer une nouvelle nuit, la onzième, dans des tentes au pied du Département.