

Une réponse évidemment insuffisante pour les ex-Arast qui disent ne plus vouloir se faire "mener en bateau". Plus que jamais déterminés, les manifestants sont bien décidés à passer la nuit sur place s'il le faut. Il seraient même prêts à aller plus loin en bloquant la sortie au directeur de l'AGS, Hery Randriamampianina, tant qu'aucune réponse n'aura été apportée à leur demande.
La police, présente sur les lieux, laissera-t-elle faire? La nuit s'annonce quoi qu'il arrive chaude et animée rue Jean Chatel.