Une opération escargot est partie de l’IUFM de Bellepierre à Saint-Denis, avec les futurs enseignants. Une trentaine de voitures s’est embarquée, dès 9h ce matin sur le Boulevard Sud, pour rejoindre les étudiants de la faculté du Moufia. Plus de 500 lycéens venus de des établissements de l’est, de l’ouest et du nord les attendaient patiemment dans l’amphithéâtre Cadet.
Vers 10h, le cortège de lycéens et d’étudiants a repris la route toujours par le Boulevard Sud, pour arriver à la préfecture vers midi. Une délégation de huit jeunes - quatre membres de l’UNL, et quatre autres de l’UNEF - a été reçue par le directeur de cabinet, Philippe Le Moing-Surzur.
Ce dernier leur a assuré une réponse avant la rentrée 2009 quant à une concertation via une visioconférence avec Xavier Darcos et Valérie Pécresse.
"Est-ce que le gouvernement a une vraie volonté de concertation avec nous ?" C’est la question que se posent autant les étudiants que les lycéens sur le projet Darcos reporté il y a quelques jours par le ministre de l’Education Nationale, à dans un an.
Ils étaient un millier à traverser le Boulevard Sud vers 11h, et ont fini quelques centaines devant la préfecture. La délégation, qui a été reçue par le directeur de cabinet du Préfet vers 12h40, (Pierre-Henry Maccioni étant hors du département), a espoir de pouvoir se concerter par visioconférence avec Xavier Darcos et Valérie Pécresse, Ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche. Philippe Le Moing-Surzur leur a certifié qu’ils auront une réponse avant la rentrée et que leurs revendications seront transmises aux intéressés.
D’ici là Gilles Lerperlier, président de l’UNEF Réunion dit rester déterminé. "i[On est satisfait d’avoir été entendu aujourd’hui. Le fait que l’on soit encore une fois dans la rue est bien la preuve qu’il y a un vrai malaise chez les jeunes Réunionnais face à l’enseignement. Il faut que le gouvernement tienne compte aussi des spécificités de l’Académie de notre département. On demande un budget plus adapté et plus d’emplois. Dans la conjoncture actuelle, on ne peut pas accepter ni une restriction de budget, ni une suppression de postes]i".
Une assemblée générale s’est tenue cet après-midi sur le campus du Moufia, afin de faire le point et de définir un plan d’action pour la rentrée...
"Est-ce que le gouvernement a une vraie volonté de concertation avec nous ?" C’est la question que se posent autant les étudiants que les lycéens sur le projet Darcos reporté il y a quelques jours par le ministre de l’Education Nationale, à dans un an.
Ils étaient un millier à traverser le Boulevard Sud vers 11h, et ont fini quelques centaines devant la préfecture. La délégation, qui a été reçue par le directeur de cabinet du Préfet vers 12h40, (Pierre-Henry Maccioni étant hors du département), a espoir de pouvoir se concerter par visioconférence avec Xavier Darcos et Valérie Pécresse, Ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche. Philippe Le Moing-Surzur leur a certifié qu’ils auront une réponse avant la rentrée et que leurs revendications seront transmises aux intéressés.
D’ici là Gilles Lerperlier, président de l’UNEF Réunion dit rester déterminé. "i[On est satisfait d’avoir été entendu aujourd’hui. Le fait que l’on soit encore une fois dans la rue est bien la preuve qu’il y a un vrai malaise chez les jeunes Réunionnais face à l’enseignement. Il faut que le gouvernement tienne compte aussi des spécificités de l’Académie de notre département. On demande un budget plus adapté et plus d’emplois. Dans la conjoncture actuelle, on ne peut pas accepter ni une restriction de budget, ni une suppression de postes]i".
Une assemblée générale s’est tenue cet après-midi sur le campus du Moufia, afin de faire le point et de définir un plan d’action pour la rentrée...