
La CGTR, FO et la SAFPTR entament ce lundi une grève illimitée au sein de la mairie de Saint-Paul. Sont concernés l'ensemble des agents de la mairie, ceux du CCAS et ceux de la Caisse des Ecoles.
Malgré un tête-à-tête avec le 1er magistrat et des adjoints lundi dernier, marqué par des propositions saluées par les organisations syndicales, elles ont néanmoins décidé de maintenir au plus haut leurs exigences sur plusieurs points.
La revalorisation des salaires des agents non titulaires en est la pierre angulaire. Cette revalorisation pourrait aller entre 60 et 100 euros selon le niveau de traitement des employés communaux intégrés. Pour les plus bas, soit 1300 euros mensuel, les syndicats attendent un niveau de revalorisation au plus haut, soit 100 euros. Une revalorisation dégressive qui serait appliquée jusqu’aux salaires au-dessus de 1500 euros (+65 euros).
D’autres points d’achoppement constituent le socle des revendications de cette grève des agents, la première subie par le maire élu en mars 2014.
Il s’agit de la mise en place d'un service de médecine préventive, d'un plan de titularisation. Plus polémique, les syndicats mettent aussi sur la table ce qu’ils qualifient de "déplacements arbitraires" et d'"embauches politiques."
Malgré un tête-à-tête avec le 1er magistrat et des adjoints lundi dernier, marqué par des propositions saluées par les organisations syndicales, elles ont néanmoins décidé de maintenir au plus haut leurs exigences sur plusieurs points.
La revalorisation des salaires des agents non titulaires en est la pierre angulaire. Cette revalorisation pourrait aller entre 60 et 100 euros selon le niveau de traitement des employés communaux intégrés. Pour les plus bas, soit 1300 euros mensuel, les syndicats attendent un niveau de revalorisation au plus haut, soit 100 euros. Une revalorisation dégressive qui serait appliquée jusqu’aux salaires au-dessus de 1500 euros (+65 euros).
D’autres points d’achoppement constituent le socle des revendications de cette grève des agents, la première subie par le maire élu en mars 2014.
Il s’agit de la mise en place d'un service de médecine préventive, d'un plan de titularisation. Plus polémique, les syndicats mettent aussi sur la table ce qu’ils qualifient de "déplacements arbitraires" et d'"embauches politiques."