Il aura fallu attendre plus de deux heures pour que le collectif des salariés des associations emplois verts de la Réunion, la Région et l'Etat trouvent un terrain d'entente. Mais c'est avec le sourire aux lèvres que les présidents d'associations sont sortis de la préfecture. "La discussion a été âpre entre les différents partis mais l'essentiel est d'être arrivé au bout et d'avoir eu le renouvellement de l'ensemble des contrats jusqu'à la fin de l'année", explique Richard Payet, membre du collectif des salariés des associations emplois verts de la Réunion.
Le bras de fer engagé entre les associations et l'Etat était loin d'être gagné pour les emplois verts. Une première réunion avait eu lieu jeudi dernier et n'avait débouché sur rien, les acteurs étant de nouveau conviés aujourd'hui. Le "salut" est venu de la Région Réunion. Didier Robert, président du Conseil régional, a pu "convaincre" l'Etat de soutenir le dispositif emplois verts de la Région.
"Une victoire pour l'ensemble des emplois verts"
Didier Robert a tenu à prendre la parole devant les personnes venues manifester en face de la préfecture, pour rappeler sa détermination à "maintenir" les emplois verts et les chantiers pour cette année. "La réunion qui vient de se tenir était utile. Les responsables des associations ont pu s'exprimer comme il le fallait et ont eu une écoute du préfet sur la problématique emplois verts. Nous avons signé un document qui garantit le financement auprès des associations, un document co-signé par le préfet de la Réunion", explique Didier Robert devant une foule acquise à sa cause.
Pour les associations l'essentiel est là, les 2.500 personnes engagées sous le dispositif emplois verts auront leur contrat renouvelé. "C'est une victoire pour l'ensemble des emplois verts et ceux qui travaillent", ajoute Richard Payet.
Un guichet commun Etat et Conseil régional va être mis en place pour assurer le suivi et la coordination du dispositif "arrêté ce matin", précise Didier Robert. La première réunion aura lieu le jeudi 30 août. Quand au collectif, il reste vigilant sur l'avenir, car le protocole d'accord signé entre l'Etat et la Région ne couvre que le second semestre 2012. "On ne baisse pas les bras et on sera vigilants pour le renouvellement du dispositif pour l'année 2013 et les années suivantes", conclut Richard Payet.
Le bras de fer engagé entre les associations et l'Etat était loin d'être gagné pour les emplois verts. Une première réunion avait eu lieu jeudi dernier et n'avait débouché sur rien, les acteurs étant de nouveau conviés aujourd'hui. Le "salut" est venu de la Région Réunion. Didier Robert, président du Conseil régional, a pu "convaincre" l'Etat de soutenir le dispositif emplois verts de la Région.
"Une victoire pour l'ensemble des emplois verts"
Didier Robert a tenu à prendre la parole devant les personnes venues manifester en face de la préfecture, pour rappeler sa détermination à "maintenir" les emplois verts et les chantiers pour cette année. "La réunion qui vient de se tenir était utile. Les responsables des associations ont pu s'exprimer comme il le fallait et ont eu une écoute du préfet sur la problématique emplois verts. Nous avons signé un document qui garantit le financement auprès des associations, un document co-signé par le préfet de la Réunion", explique Didier Robert devant une foule acquise à sa cause.
Pour les associations l'essentiel est là, les 2.500 personnes engagées sous le dispositif emplois verts auront leur contrat renouvelé. "C'est une victoire pour l'ensemble des emplois verts et ceux qui travaillent", ajoute Richard Payet.
Un guichet commun Etat et Conseil régional va être mis en place pour assurer le suivi et la coordination du dispositif "arrêté ce matin", précise Didier Robert. La première réunion aura lieu le jeudi 30 août. Quand au collectif, il reste vigilant sur l'avenir, car le protocole d'accord signé entre l'Etat et la Région ne couvre que le second semestre 2012. "On ne baisse pas les bras et on sera vigilants pour le renouvellement du dispositif pour l'année 2013 et les années suivantes", conclut Richard Payet.