
Le Syndicat mixte de transports de La Réunion lors du lancement d'une enquête "Déplacements Grand Territoire" en 2016
"Les élus du SMTR alertent sur les dysfonctionnements imputables au Président Alix Galbois.
Le Président du SMTR, actuellement très isolé au sein même de la structure, soutient, contre l’avis quasi unanime, un projet de STIR, système de transport intelligent, très controversé car surdimensionné, très cher et qui ne correspond plus aux besoins des autorités de la mobilité et du développement des transports publics réunionnais. Le Présidents actuel du SMTR, malgré les risques financiers qui pèsent sur le SMTR, liés aux incertitudes sur le financement du projet persiste à défendre son STIR, projet à 17 million d’€ qui ne pourrait être installé qu’en 2024.
Les élus et gestionnaires de réseaux ont fait un autre choix, pragmatique, moins coûteux et ont décidé de doter leurs réseaux de transport public urbains et interurbain de systèmes de billettique embarquée, systèmes déjà en phase opérationnelle et proposent d’analyser des systèmes d’interopérabilité conformes aux attentes des usagers, des gestionnaires, conformes aux technologiques performantes et réalistes au regard des contraintes budgétaires et donc de la bonne de utilisation de l’argent public.
Les élus du SMTR ont à maintes reprises alerté le président du SMTR sur les risques juridiques, financiers, techniques, au regard du droit des marchés publics et notamment du droit pénal. C’est ainsi que lors du Comité syndical du 11/4/2018 les élus du SMTR ont à l’unanimité décidé de ne pas donner suite aux marchés du STIR qui ne sont pas signés, ni notifiés. Seul le président du SMTR souhaite la poursuite de ces marchés.
C’est ainsi que par courrier en date du 6/7/2018 les élus du SMTR ont informé le Préfet de la position partagée des élus et des collectivités de mettre un terme à ces marchés portant sur 17 millions d’€ avant que l’irréparable ne soit commis.
C’est ainsi que les élus du SMTR ont pu réitérer leur volonté lors de l’échange fructueux avec le Préfet le 24/7/2018.
C’est ainsi que les élus du SMTR ont alerté la Ministre des transports et la Ministre des outre-mer.
C’est ainsi encore que les vice-présidents du SMTR ont demandé lors du bureau du 30/8/2018 au président du SMTR de préparer une délibération argumentée de ne pas donner suite aux marchés pour des motifs évidents d’intérêt général et ont clairement exprimé la défiance à l’égard des méthodes du président, de son comportement inadmissible méprisant à l’égard des élus et des collectivités.
Le président du SMTR persiste dans ses errements, fait obstruction à la décision des élus au risque de mettre gravement en difficulté la structure.
Nous demandons la démission du président Alix Galbois dont le bilan et les prises de position au sein du SMTR ne correspondent pas aux enjeux que constituent les transports et déplacements à La Réunion.
La Réunion est fortement dépendante à l’automobile qui représente 66 % des déplacements et génère d’importants phénomènes de congestion routière.
Si l’utilisation des transports collectifs ne cesse d’augmenter grâce aux programmes de création d’infrastructures pilotés par La Région, Le Département et les EPCI, projets et chantiers intégrés pour la plupart dans les schémas directeurs que sont le SAR, le Schéma régional des infrastructures, la Programmation régionale de l’inter modalité le Plan Régional Vélo.... les transports collectifs doivent se développer encore davantage pour mieux répondre aux attentes des citoyens par la mise en œuvre d’interconnexions pertinentes.
Afin de disposer d’un outil de gouvernance partagée le Syndicat Mixte des Transports de La Réunion a été créé en 2013 et regroupe actuellement La Région et les 5 intercommunalités CINOR, TCO, CIVIS, CIREST, CASUD. Il exerce ses attributions selon les principes de coordination et de subsidiarité, dans le respect des compétences de ses adhérents."
Le Président du SMTR, actuellement très isolé au sein même de la structure, soutient, contre l’avis quasi unanime, un projet de STIR, système de transport intelligent, très controversé car surdimensionné, très cher et qui ne correspond plus aux besoins des autorités de la mobilité et du développement des transports publics réunionnais. Le Présidents actuel du SMTR, malgré les risques financiers qui pèsent sur le SMTR, liés aux incertitudes sur le financement du projet persiste à défendre son STIR, projet à 17 million d’€ qui ne pourrait être installé qu’en 2024.
Les élus et gestionnaires de réseaux ont fait un autre choix, pragmatique, moins coûteux et ont décidé de doter leurs réseaux de transport public urbains et interurbain de systèmes de billettique embarquée, systèmes déjà en phase opérationnelle et proposent d’analyser des systèmes d’interopérabilité conformes aux attentes des usagers, des gestionnaires, conformes aux technologiques performantes et réalistes au regard des contraintes budgétaires et donc de la bonne de utilisation de l’argent public.
Les élus du SMTR ont à maintes reprises alerté le président du SMTR sur les risques juridiques, financiers, techniques, au regard du droit des marchés publics et notamment du droit pénal. C’est ainsi que lors du Comité syndical du 11/4/2018 les élus du SMTR ont à l’unanimité décidé de ne pas donner suite aux marchés du STIR qui ne sont pas signés, ni notifiés. Seul le président du SMTR souhaite la poursuite de ces marchés.
C’est ainsi que par courrier en date du 6/7/2018 les élus du SMTR ont informé le Préfet de la position partagée des élus et des collectivités de mettre un terme à ces marchés portant sur 17 millions d’€ avant que l’irréparable ne soit commis.
C’est ainsi que les élus du SMTR ont pu réitérer leur volonté lors de l’échange fructueux avec le Préfet le 24/7/2018.
C’est ainsi que les élus du SMTR ont alerté la Ministre des transports et la Ministre des outre-mer.
C’est ainsi encore que les vice-présidents du SMTR ont demandé lors du bureau du 30/8/2018 au président du SMTR de préparer une délibération argumentée de ne pas donner suite aux marchés pour des motifs évidents d’intérêt général et ont clairement exprimé la défiance à l’égard des méthodes du président, de son comportement inadmissible méprisant à l’égard des élus et des collectivités.
Le président du SMTR persiste dans ses errements, fait obstruction à la décision des élus au risque de mettre gravement en difficulté la structure.
Nous demandons la démission du président Alix Galbois dont le bilan et les prises de position au sein du SMTR ne correspondent pas aux enjeux que constituent les transports et déplacements à La Réunion.
La Réunion est fortement dépendante à l’automobile qui représente 66 % des déplacements et génère d’importants phénomènes de congestion routière.
Si l’utilisation des transports collectifs ne cesse d’augmenter grâce aux programmes de création d’infrastructures pilotés par La Région, Le Département et les EPCI, projets et chantiers intégrés pour la plupart dans les schémas directeurs que sont le SAR, le Schéma régional des infrastructures, la Programmation régionale de l’inter modalité le Plan Régional Vélo.... les transports collectifs doivent se développer encore davantage pour mieux répondre aux attentes des citoyens par la mise en œuvre d’interconnexions pertinentes.
Afin de disposer d’un outil de gouvernance partagée le Syndicat Mixte des Transports de La Réunion a été créé en 2013 et regroupe actuellement La Région et les 5 intercommunalités CINOR, TCO, CIVIS, CIREST, CASUD. Il exerce ses attributions selon les principes de coordination et de subsidiarité, dans le respect des compétences de ses adhérents."