Je ne résiste pas au plaisir de vous raconter les à-côtés du vote de ce matin, qui a abouti à la désignation de Pascal Montrouge, en remplacement de Jacques Dambreville pour la délégation de service de la culture départementale.
Comme prévu, les élus de l'Alliance ont averti la présidente qu'ils allaient voter Jacques Dambreville, comme ceux de Droite. Ce qui fait qu'en comptant les présents, Nassimah Dindar s'aperçoit dès le début de séance qu'elle risque une fois de plus d'être mise en minorité.
A ce moment, il y avait 15 voix pour Jacques Dambreville et 13 pour Pascal Montrouge.
Nassimah décide donc de gagner du temps. Elle part dans de grandes explications sur l'importance du vote, les enjeux... Personne n'est dupe...
Pendant ce temps, ses proches arpentent les couloirs à la recherche d'élus susceptibles de faire pencher la balance en faveur de Pascal Montrouge. C'est ainsi qu'ils tombent sur Gino Ponimballom qui, courageusement, s'était arrangé pour s'éclipser histoire de ne pas participer au vote... On ne sait ce que les sbires de Nassimah lui ont promis, mais ça a du être suffisamment intéressant pour qu'il re-rentre dans la salle. Ouf! Une voix de gagnée... Mais le score est toujours de 15 contre 14...
C'est alors qu'Ibrahim Dindar revient lui aussi, muni d'une précieuse procuration de Bruno Mamindy-Pajany. 15 contre 15, on peut passer au vote.
La présidente n'a eu qu'à faire jouer le fait qu'en cas d'égalité, sa voix comptait double pour faire basculer le scrutin en faveur de Pascal Montrouge.
Dans les prochains jours, je vous raconterai, preuves à l'appui, comment Nassimah Dindar jurait à Jacques Dambreville, peu de temps encore avant le scrutin, qu'elle le soutiendrait jusqu'au bout...
C'en serait amusant si le sujet n'était aussi sérieux... C'est avec l'avenir de la Réunion que l'on joue...
Il faut également retirer une leçon de cette désignation : Nassimah Dindar a, dans ce dossier, clairement joué Annette contre l'Alliance. Ce qui devrait laisser des traces dans les jours à venir...
Comme prévu, les élus de l'Alliance ont averti la présidente qu'ils allaient voter Jacques Dambreville, comme ceux de Droite. Ce qui fait qu'en comptant les présents, Nassimah Dindar s'aperçoit dès le début de séance qu'elle risque une fois de plus d'être mise en minorité.
A ce moment, il y avait 15 voix pour Jacques Dambreville et 13 pour Pascal Montrouge.
Nassimah décide donc de gagner du temps. Elle part dans de grandes explications sur l'importance du vote, les enjeux... Personne n'est dupe...
Pendant ce temps, ses proches arpentent les couloirs à la recherche d'élus susceptibles de faire pencher la balance en faveur de Pascal Montrouge. C'est ainsi qu'ils tombent sur Gino Ponimballom qui, courageusement, s'était arrangé pour s'éclipser histoire de ne pas participer au vote... On ne sait ce que les sbires de Nassimah lui ont promis, mais ça a du être suffisamment intéressant pour qu'il re-rentre dans la salle. Ouf! Une voix de gagnée... Mais le score est toujours de 15 contre 14...
C'est alors qu'Ibrahim Dindar revient lui aussi, muni d'une précieuse procuration de Bruno Mamindy-Pajany. 15 contre 15, on peut passer au vote.
La présidente n'a eu qu'à faire jouer le fait qu'en cas d'égalité, sa voix comptait double pour faire basculer le scrutin en faveur de Pascal Montrouge.
Dans les prochains jours, je vous raconterai, preuves à l'appui, comment Nassimah Dindar jurait à Jacques Dambreville, peu de temps encore avant le scrutin, qu'elle le soutiendrait jusqu'au bout...
C'en serait amusant si le sujet n'était aussi sérieux... C'est avec l'avenir de la Réunion que l'on joue...
Il faut également retirer une leçon de cette désignation : Nassimah Dindar a, dans ce dossier, clairement joué Annette contre l'Alliance. Ce qui devrait laisser des traces dans les jours à venir...