
Une action de blocage est en cours ce lundi au Port, afin de dénoncer le manque de moyens humains et matériels pour le chargement et le déchargement des containers.
L’accès aux zones de livraisons s’est peu à peu engorgé, et une attente de deux à trois heures est nécessaire pour récupérer un container.
Une action similaire avait déjà été menée au mois de mai. À l’époque un protocole d’accord avait été signé. "Malheureusement, cet accord entre les acconiers et les transporteurs n’a pas été respecté et les conditions se sont à nouveau dégradées" déplore Patrick Cassagnabere, président de la commission Transport au sein de TLF Réunion (Transport Logistique de France, syndicat des transitaires de la Réunion).
"Il n’y aura pas de blocage, ni de barrage des routes mais nous ne déchargerons pas les containers, ce qui à terme engendrera une asphyxie du Grand Port Réunion" poursuit-il. "Mais cette action ne concerne pas les produits pharmaceutiques et médicaux, ni les produits dangereux sous-palans, qui sont eux pris en charge".
Le syndicat a adressé un communiqué au préfet en date du 4 novembre, afin de dénoncer le non-respect de l’accord.
L’accès aux zones de livraisons s’est peu à peu engorgé, et une attente de deux à trois heures est nécessaire pour récupérer un container.
Une action similaire avait déjà été menée au mois de mai. À l’époque un protocole d’accord avait été signé. "Malheureusement, cet accord entre les acconiers et les transporteurs n’a pas été respecté et les conditions se sont à nouveau dégradées" déplore Patrick Cassagnabere, président de la commission Transport au sein de TLF Réunion (Transport Logistique de France, syndicat des transitaires de la Réunion).
"Il n’y aura pas de blocage, ni de barrage des routes mais nous ne déchargerons pas les containers, ce qui à terme engendrera une asphyxie du Grand Port Réunion" poursuit-il. "Mais cette action ne concerne pas les produits pharmaceutiques et médicaux, ni les produits dangereux sous-palans, qui sont eux pris en charge".
Le syndicat a adressé un communiqué au préfet en date du 4 novembre, afin de dénoncer le non-respect de l’accord.