
On se souvient de la bataille épique autour du tram-train, à l'occasion de la dernière campagne électorale des Régionales.
D'un côté, la majorité de la Région regroupée autour de l'ancien président Paul Vergès (PCR) qui défendait becs et ongles son projet de tram-train, et qui tirait à boulets rouges (c'est le cas de le dire) contre le projet de son challenger (et successeur), Didier Robert, qui préférait des bus en sites propres au tram-train. Car ça coûtait moins cher, que ça créait plus d'emplois, et que c'était plus souple d'utilisation.
Ironie de l'histoire, le même genre de débat a agité la ville de Besançon au mois de juin dernier. Sauf que, cette fois, la majorité municipale était favorable à un projet de transport en commun de type tramway, et que c'est l'opposition PCF qui était contre.
Et les arguments utilisés par les élus PCF en faveur de leur Bus à Haut Niveau de Service devraient vous rappeler quelque chose : ils craignaient "un surcoût important du projet", argument naguère mis en avant par Didier Robert. Selon eux, le projet était également "non réalisable dans les délais et les coûts annoncés".
Enfin, ils craignaient que ce projet de tramway ne bloque "d’autres projets tout aussi importants pour la population".
Quasiment du copier/coller des arguments de la Droite à la Réunion, je vous dis...
D'un côté, la majorité de la Région regroupée autour de l'ancien président Paul Vergès (PCR) qui défendait becs et ongles son projet de tram-train, et qui tirait à boulets rouges (c'est le cas de le dire) contre le projet de son challenger (et successeur), Didier Robert, qui préférait des bus en sites propres au tram-train. Car ça coûtait moins cher, que ça créait plus d'emplois, et que c'était plus souple d'utilisation.
Ironie de l'histoire, le même genre de débat a agité la ville de Besançon au mois de juin dernier. Sauf que, cette fois, la majorité municipale était favorable à un projet de transport en commun de type tramway, et que c'est l'opposition PCF qui était contre.
Et les arguments utilisés par les élus PCF en faveur de leur Bus à Haut Niveau de Service devraient vous rappeler quelque chose : ils craignaient "un surcoût important du projet", argument naguère mis en avant par Didier Robert. Selon eux, le projet était également "non réalisable dans les délais et les coûts annoncés".
Enfin, ils craignaient que ce projet de tramway ne bloque "d’autres projets tout aussi importants pour la population".
Quasiment du copier/coller des arguments de la Droite à la Réunion, je vous dis...