
Les climatosceptiques ont bénéficié pendant des années de plus de visibilité dans les médias que les climatologues reconnus. C'est ce que révèle une étude publiée dans Nature Communication.
La visibilité des "négateurs du climat" a en effet été 49 % plus importante que celle des scientifiques dans les 100 000 articles étudiés, issus de la presse papier ou en ligne et publiés entre 2000 et 2016.
Un déséquilibre qui "dénature la répartition des opinions des experts" et "sape" la crédibilité des climatologues, font remarquer les auteurs de l'étude.
Un déséquilibre en outre renforcé par l’effet amplificateur des réseaux sociaux, note l'étude.
La visibilité des "négateurs du climat" a en effet été 49 % plus importante que celle des scientifiques dans les 100 000 articles étudiés, issus de la presse papier ou en ligne et publiés entre 2000 et 2016.
Un déséquilibre qui "dénature la répartition des opinions des experts" et "sape" la crédibilité des climatologues, font remarquer les auteurs de l'étude.
Un déséquilibre en outre renforcé par l’effet amplificateur des réseaux sociaux, note l'étude.