
Le centre Autovision du Moufia
Ils sont une trentaine de salariés à être postés devant les grilles fermées du centre Autovision du Moufia à Saint-Denis.
Aux alentours de 7h30, les salariés de la quasi totalité des centres Dekra, Autovision et Veritas (seul un ou deux centres seraient ouverts selon les grévistes ndlr) ont décidé d'entamer un mouvement de grève pour dénoncer leurs mauvaises conditions de travail, mais également demander des revalorisations salariales.
Emmenés par la CGTR Auto moto, les salariés réclament de meilleures conditions de sécurité sur leur lieu de travail. Un salarié nous fait part du manque de matériel dans les centres. "Nous n'avons pas de chaussures de sécurité, pas de gants et pas de masque de protection au moment des contrôles anti-pollution", explique-t-il.
Outre les conditions de sécurité, les grévistes demandent l'instauration d'un vrai dialogue social au sein de l'entreprise. Une situation qui perdure depuis près de deux ans selon eux. Parmi les revendications, les salariés des entreprises veulent être rattachés à la convention collective automobile, mais surtout que les heures supplémentaires soient payées.
Une réunion est actuellement en cours avec la direction, des représentants de salariés et le secrétaire général de la fédération Auto-Moto à la CGTR, Jacques Bhugon.
Aux alentours de 7h30, les salariés de la quasi totalité des centres Dekra, Autovision et Veritas (seul un ou deux centres seraient ouverts selon les grévistes ndlr) ont décidé d'entamer un mouvement de grève pour dénoncer leurs mauvaises conditions de travail, mais également demander des revalorisations salariales.
Emmenés par la CGTR Auto moto, les salariés réclament de meilleures conditions de sécurité sur leur lieu de travail. Un salarié nous fait part du manque de matériel dans les centres. "Nous n'avons pas de chaussures de sécurité, pas de gants et pas de masque de protection au moment des contrôles anti-pollution", explique-t-il.
Outre les conditions de sécurité, les grévistes demandent l'instauration d'un vrai dialogue social au sein de l'entreprise. Une situation qui perdure depuis près de deux ans selon eux. Parmi les revendications, les salariés des entreprises veulent être rattachés à la convention collective automobile, mais surtout que les heures supplémentaires soient payées.
Une réunion est actuellement en cours avec la direction, des représentants de salariés et le secrétaire général de la fédération Auto-Moto à la CGTR, Jacques Bhugon.