
Après le Rectorat hier, les assistants d’éducation se tournent aujourd'hui vers les politiques. Dans le Sud, une cinquantaine d’assistants d’éducation s'est réunie pour faire une tournée des politiques. Ils rencontrent ce matin Patrick Lebreton, député-maire de Saint-Joseph, Didier Robert, député-maire du Tampon, Michel Fontaine, maire de Saint-Pierre, et Alain Gérard, le sous-préfet de Saint-Pierre. Dans l’Est, à Saint-Benoît, une délégation sera reçue par le député-maire, Jean-Claude Fruteau.
"Nous souhaitons sensibiliser nos élus sur la situation difficile des assistants d’éducation dont un grand nombre d’entre eux, 348 précisément, va se retrouver au chômage après avoir travaillé pendant douze ans dans l’Éducation nationale. Nous souhaitons également que les assistants d'éducation qui n'ont pas effectué la totalité de leur six années soient ré-embauchés", explique Yannis Lebon, représentant syndical CFTC.
La loi de 2005 visant à transformer un CDI en CDD n'est pas applicable aux assistants d'éducation. C'est sur ce point que les organisations syndicales se battent pour permettre, par le biais d'un projet de loi déjà existant, de permettre l'intégration des agents et la possibilité d’être reconduits dans leur fonction.
Ainsi, les délégations demanderont à chaque homme politique de co-signer un document pour le faire valoir par la suite devant le gouvernement.
"Nous souhaitons sensibiliser nos élus sur la situation difficile des assistants d’éducation dont un grand nombre d’entre eux, 348 précisément, va se retrouver au chômage après avoir travaillé pendant douze ans dans l’Éducation nationale. Nous souhaitons également que les assistants d'éducation qui n'ont pas effectué la totalité de leur six années soient ré-embauchés", explique Yannis Lebon, représentant syndical CFTC.
La loi de 2005 visant à transformer un CDI en CDD n'est pas applicable aux assistants d'éducation. C'est sur ce point que les organisations syndicales se battent pour permettre, par le biais d'un projet de loi déjà existant, de permettre l'intégration des agents et la possibilité d’être reconduits dans leur fonction.
Ainsi, les délégations demanderont à chaque homme politique de co-signer un document pour le faire valoir par la suite devant le gouvernement.